samedi 25 mai 2013

VENTS D'HONNEUR...

Vents d’honneur...
 I am... who I am...

C’est fort minable...
‘Y’a des vents pires’ qu’il est pensable
D’imaginer... et qui s’emparent’ de vos idées, sans qu’on l’avoue...
Ceux qui colportent leur légende... et la transportent’ un peu partout.
Ils vous jettent’ de « la poudre aux yeux » ou du sable dans les oreilles :
J’ai vu des plages, hier... à Marseille...
Ou bien ailleurs...
Bien loin des « vignes du Seigneur » (!!!)
Et le sable, oh ! je l’ai laissé !
Je n’y ai jamais vu pousser
Que les « raisins » de la colère, incontournable...
Insupportable !
Avec « raison », j’en ai parlé, l’an passé (c’est incontestable !) ;
Je l’ai dit en douze et en douce avec mes mots
Et voilà qu’en treize et bien tôt,
Il m’en revient comme un écho, là, dans mon dos !
La copie à demi-masquée
Aurait bien de quoi me narguer...
Il n’en est rien puisqu’on sait bien
Que les gamins sont comme les chiens :
Ils singent leurs maîtres autant qu’il faut
En se fabriquant des héros
Pour jouer aux « jeux de l’ego »...
Et des adultes (ça se voit !)
N’en sont jamais que restés là
En se prenant pour des géants,
Des mutants ou des habitants...
De Mars !
C’est une farce, oui ! quoi qu’on y fasse
Et le revers de leur désir
N’est que l’ombre de leurs délires,
Sans rire,
Qui les habitent’ avec passion...
Comme un désastre... une illusion !
Mais sait-on ce qu’il adviendra
De leur « aura », dans les médias,
Qui leur vaut un vent de succès
Et qui tient moins d’un fait exprès...

Que d’un prodige... un coup d’bâton...
Que d’un prodige... un coup d’bâton !
Ah ! Quel bâton ! 

J’ai comme un souffle dans l’oreille :
J’entends les plagiaires’ de Marseille...
Ou bien d’ailleurs...
Ils croient produire un vin d’horreur
Et nous griser de ça, ma foi !
Je n’vous dis pas dans quel état
Ils croient nous laisser vous et moi !
Car les raisons de leur colère
Ont pris corps dans les sanctuaires
Qu’ils ont bâtis dans leur carrière
Pour honorer leur foi guerrière
(En réponse à toutes’ leurs misères ?)
Et quand bien même elle’ fût sincère,
Elle est un foyer de cancers, tout au fond, dont la haine se sert !
Mais ceux qui n’ont plus de foyer : les mal-aimés, les sans-abri,
Pour qui j’ai écrit et je prie,
N’ont que faire’ de cette hébétude
Qu’on veut qualifier d’« habitude »...
Sans chercher le moindre recours...
Sans parler même, assez, d’Amour !
A Marseille, il ‘y’a des marsouins
Comme ailleurs Il ‘y’a des Martiens,
Le cœur nourri d’imprécations ;
Sans Dieu ni loi, sans dévotion ;
Qui vous entraîneraient jusqu’au au large
De leurs fantasmes’ impurs et barges
Et qui, pourtant, sont populaires
Car populistes à leur manière !

Avec ça, ils font un carton...
Avec ça, ils font un carton !
Ah ! Quel carton !

Dans les miasmes des champs guerriers,
C’est avéré,
On craint souvent le collapsus !
Et les provocs’ et les hiatus,
Dans les couplets très erratiques
De ces histrions fanatiques,
Nous font connaître un vrai bourbier
Dont on a peine à s’extirper :
C’est un fourre’-tout très nombriliste,
Dont je veux taire ici la liste,
Qui m’inspira ces quelques lignes
Et c’est aussi leur « chant du cygne »
Qu’ils ont signé avec du fiel
Et dont les médias font leur miel,
Pour encenser leurs grognements
Qu’ils font passer pour des serments !
Alors... qu’on trinque à leur santé !
Avec le vin qu’ils ont versé :
« Ce poison qui veut progresser
Dans les cœurs et dans les pensées » !
Puis qu’on efface un peu l’injure
De leur humanité parjure !
Quand « Mars attaque »,
C’est une arnaque !
Et c’est grotesque, croyez-moi :
C’est du bluff et du cinéma !
Car leurs chants pleins de périphrases
Sont l’expression de paraphrases
Aussi indues que saugrenues ;
Volées sans accord ni vertu :
Dans leur égotisme abyssal
Et leur ego pyramidal,
Ils trouvent’ toute leur inspiration
Chez ceux qui ont de l’expression
Et sur leur « pyramide », au fond,
Pour assurer leur ascension,

Ils exploite’ront tous les grattons...
Ils exploite’ront tous les grattons !
Ah ! Quels grattons !

C’est comme un joueur de Poker
Qui tricherait autant quun faussaire
Dont linfamie ne se voit pas
Et que nul ne soupçonne’rait là,
A part celui qu’il a spolié
En prenant soin de l’évincer !
C’est juste un hold-up déguisé
Du langage et de la pensée ;
Un emprunt de phrases’ et d’idées
Qu'on aura préféré tuer,
Pour ne pas les restituer !
Et tout ça fait de grands succès
Dont rien ne condamne’rait l’excès
Si les auteurs qui sont plagiés
Ne pouvaient pas s’en réclamer !
Mais tout ça fait du baragouin,
Qui est un art assez « marsouin »
Adulé par tant de critiques
Comme envoûtant pour un public
Ignorant tout de ces pratiques !
On peut bâtir des pyramides... oui !
Avec des parpaings qu’on a pris
Dans les étoiles’ ou bien sur Mars :
On le fait croire et puis ça passe
A l’as ! Hélas,
Mille' fois hélas ! C’est pour le strass
Qu’on se révèle aussi loquace,
Alors qu’on est juste emprunteur,
Pour semer dans les vents d’honneur
Des mots vainqueurs
Dont cependant (et par malheur)
On n’est ni porteur, ni l’auteur :
Juste voleur... mais, attention !
Un jour, on peut s’prendre un râteau !
Et ça jette une ombre au tableau !

Par l’effet du « qu’en dira-t-on »...
Par l’effet du « qu’en dira-t-on »,
Un jour, on tombe... sur des matons !

Un jour, on tombe sur des matons...

Ah ? Quels matons ?


http://jeanpierreb.over-blog.com/article-sans-abri-64578624.html


http://www.paroles.net/iam/paroles-habitude


C'EST QUOI, C'DELIRE ?  (extrait):

[...]

Fends ta carapace et fends l’air...
Même’si t’es deg et tu te perds...
Dans les raisons de ta colère...

(samedi 2 juin 2012)

[...]

http://jean-pierre-aimer.blogspot.fr/2012/06/tous-ceux.html