Vents
d’honneur...
I am... who I am...
C’est
fort minable...
‘Y’a des
vents pires’ qu’il est pensable
D’imaginer...
et qui s’emparent’ de vos idées, sans qu’on l’avoue...
Ceux qui
colportent leur légende... et la transportent’ un peu partout.
Ils vous
jettent’ de « la poudre aux yeux » ou du sable dans les oreilles :
J’ai vu des
plages’, hier... à Marseille...
Ou bien
ailleurs...
Bien loin
des « vignes du Seigneur » (!!!)
Et le
sable, oh ! je l’ai laissé !
Je n’y ai
jamais vu pousser
Que les
« raisins » de la colère, incontournable...
Insupportable !
Avec
« raison », j’en ai parlé, l’an passé (c’est incontestable !) ;
Je l’ai
dit en douze et en douce avec mes mots
Et voilà qu’en treize et bien tôt,
Il m’en revient comme un écho, là, dans mon dos !
La copie à demi-masquée
Aurait
bien de quoi me narguer...
Il n’en
est rien puisqu’on sait bien
Que les
gamins sont comme’ les chiens :
Ils singent’
leurs maîtres’ autant qu’il faut
En se
fabriquant des héros
Pour jouer aux « jeux de l’ego »...
Et des
adultes (ça se voit !)
N’en sont
jamais que restés là
En se
prenant pour des géants,
Des
mutants ou des habitants...
De Mars !
C’est une’ farce, oui ! quoi qu’on y fasse
Et le revers de leur désir
N’est que l’ombre de leurs délires,
Sans rire,
Qui les habitent’ avec passion...
Comme un désastre... une illusion !
Mais sait-on ce qu’il adviendra
De leur « aura », dans les médias,
Qui leur vaut un vent de succès
Et qui tient moins d’un fait exprès...
Que d’un
prodige... un coup d’bâton...
Que d’un
prodige... un coup d’bâton !
Ah !
Quel bâton !
J’ai
comme un souffle dans l’oreille :
J’entends
les plagiaires’ de Marseille...
Ou bien
d’ailleurs...
Ils
croient produire un vin d’horreur
Et nous
griser de ça, ma foi !
Je n’vous
dis pas dans quel état
Ils
croient nous laisser vous et moi !
Car les
raisons de leur colère
Ont pris
corps dans les sanctuaires
Qu’ils
ont bâtis dans leur carrière
Pour
honorer leur foi guerrière
(En
réponse à toutes’ leurs misères ?)
Et quand
bien même elle’ fût sincère,
Elle est
un foyer de cancers, tout au fond, dont la haine’ se sert !
Mais ceux
qui n’ont plus de foyer : les mal-aimés, les sans-abri,
Pour qui
j’ai écrit et je prie,
N’ont que
faire’ de cette hébétude
Qu’on
veut qualifier d’« habitude »...
Sans
chercher le moindre recours...
Sans
parler même, assez, d’Amour !
A
Marseille, il ‘y’a des marsouins
Comme
ailleurs Il ‘y’a des Martiens,
Le cœur
nourri d’imprécations ;
Sans Dieu
ni loi, sans dévotion ;
Qui vous
entraîne’raient jusqu’au au large
De leurs
fantasmes’ impurs et barges
Et
qui, pourtant, sont populaires
Car
populistes’ à leur manière !
Avec ça,
ils font un carton...
Avec ça,
ils font un carton !
Ah !
Quel carton !
Dans les
miasmes des champs guerriers,
C’est
avéré,
On craint
souvent le collapsus !
Et les
provocs’ et les hiatus,
Dans les couplets très erratiques
De ces
histrions fanatiques,
Nous font
connaître un vrai bourbier
Dont on a
peine à s’extirper :
C’est un
fourre’-tout très nombriliste,
Dont je
veux taire ici la liste,
Qui
m’inspira ces quelques lignes
Et c’est
aussi leur « chant du cygne »
Qu’ils
ont signé avec du fiel
Et dont
les médias font leur miel,
Pour
encenser leurs grognements
Qu’ils
font passer pour des serments !
Alors...
qu’on trinque à leur santé !
Avec le
vin qu’ils ont versé :
« Ce
poison qui veut progresser
Dans les
cœurs et dans les pensées » !
Puis
qu’on efface un peu l’injure
De leur
humanité parjure !
Quand
« Mars attaque »,
C’est une arnaque !
Et c’est
grotesque, croyez-moi :
C’est du
bluff et du cinéma !
Car leurs
chants pleins de périphrases
Sont
l’expression de paraphrases
Aussi
indues que saugrenues ;
Volées
sans accord ni vertu :
Dans leur
égotisme abyssal
Et leur
ego pyramidal,
Ils
trouvent’ toute’ leur inspiration
Chez ceux
qui ont de l’expression
Et sur
leur « pyramide », au fond,
Pour
assurer leur ascension,
Ils
exploite’ront tous les grattons...
Ils
exploite’ront tous les grattons !
Ah !
Quels grattons !
C’est
comme un joueur de Poker
Qui
triche’rait autant qu’un faussaire
Dont l’infamie ne se voit pas
Et que
nul ne soupçonne’rait là,
A part
celui qu’il a spolié
En
prenant soin de l’évincer !
C’est
juste un hold-up déguisé
Du
langage et de la pensée ;
Un emprunt
de phrases’ et d’idées
Qu'on aura préféré tuer,
Pour ne pas les restituer !
Qu'on aura préféré tuer,
Pour ne pas les restituer !
Et tout
ça fait de grands succès
Dont rien
ne condamne’rait l’excès
Si les
auteurs qui sont plagiés
Ne
pouvaient pas s’en réclamer !
Mais tout
ça fait du baragouin,
Qui est
un art assez « marsouin »
Adulé par
tant de critiques
Comme envoûtant pour un public
Comme envoûtant pour un public
Ignorant tout de ces pratiques !
On peut
bâtir des pyramides’... oui !
Avec des
parpaings qu’on a pris
Dans les
étoiles’ ou bien sur Mars :
On le
fait croire et puis ça passe
A l’as ! Hélas,
Mille' fois hélas ! C’est pour le strass
Mille' fois hélas ! C’est pour le strass
Qu’on se
révèle aussi loquace,
Alors
qu’on est juste emprunteur,
Pour
semer dans les vents d’honneur
Des mots
vainqueurs
Dont
cependant (et par malheur)
On n’est
ni porteur, ni l’auteur :
Juste
voleur... mais, attention !
Un jour, on peut s’prendre un râteau !
Et ça
jette une ombre au tableau !
Par l’effet
du « qu’en dira-t-on »...
Par l’effet
du « qu’en dira-t-on »,
Un jour, on tombe’... sur des matons !
Un jour, on tombe’ sur des matons...
Ah ?
Quels matons ?
http://jeanpierreb.over-blog.com/article-sans-abri-64578624.html
http://www.paroles.net/iam/paroles-habitude
Fends ta carapace et fends l’air...
(samedi 2 juin 2012)
http://jeanpierreb.over-blog.com/article-sans-abri-64578624.html
http://www.paroles.net/iam/paroles-habitude
C'EST QUOI, C'DELIRE ? (extrait):
[...]
Fends ta carapace et fends l’air...
Même’si t’es deg et tu te perds...
Dans les raisons de ta colère...
(samedi 2 juin 2012)
[...]
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