Amalgames... (ou la fureur fasciste...)
‘Y’a rien de plus raciste’
que de railler les races’... ‘Y’a rien de plus vorace’ que d’en tailler la liste...
A traquer dans la
masse... à parquer sur les places’... ‘Y’a rien de plus factice’ que d’en marquer
la piste...
‘Y’a rien de plus farouche’
qu’un facho qui vous bashe et qui vous flashe en face en visant vos visages...
Car le vice est en
lui, qu’il le mâche ou le lâche’ ; qu’il décharge sa haine ou qu’il déchaîne’
sa rage...
Mais de quelle infamie
provient la dictature ?
‘Y’a rien de plus
rageur que la fureur fasciste !
Rien de plus ravageur,
quand les fachos se fâchent...
‘Y’a des lanceurs d’alerte’
qui voudraient bien leur perte
Mais...
‘Y’a rien de plus
stupide ou de plus hypocrite
Que de cracher plus
fort pour clasher ceux qui crachent
Ou les pousser encore’ lorsqu’on veut qu’ils s’arrêtent...
Dénoncer les insultes’ en
pratiquant l’injure est juste une imposture !
La race est un acquis
qu’on renie, par défi... Dans les esprits aigris, la race est un délit !
La race est un
défaut à l’heure’ de la terreur... à tort, dans la torpeur... La peur est un
dépit !
On se méfie d’autrui
même au prix du mépris... Juger sur l’apparence est juste une insolence !
La race est un déni
ou juste un alibi car c’est la différence’ qu’on traite avec outrance...
L’amalgame’ nous assaille’
sans souci du détail... On confond et condamne... étranger et racaille...
Un soudard au
pouvoir ne croit qu’à son miroir : pour bousculer l’histoire’, n’y’a-t-il
que lui qui vaille !!! ?
Pour quel cœur intraitable,
il n’y’a que ses semblables’ qui seraient admirables’, le « reste »
détestable ?
Au nom de quelle’
nature’, d’autres seraient incultes’ ? Au nom de quelle’ culture’, d’autres
seraient « jetables » ?
Mais selon quel
Coran doit-on verser le sang, battre des innocents, vaincre des
« mécréants » ?
Et sur quel Testament
a-t-on prêté serment pour que la charité devienne un châtiment ?
De quelle’ foi la
Torah peut-elle’ nourrir ses lois quand le poids de la Lettre est son choix
mais pas l’Être ?
Et pour quel choix laïque’,
quelle’ Justice impudique, un décret même inique a le droit de
paraître ?
« Nettoyer au Kärcher »
quelques boucs émissaires’ est un vœu sanguinaire, un aveu délétère !
A pousser les
enchères’, on libère un enfer en bouffées de colère’ ! Ça commence à
bien faire !
C’est sur Martin
qu’on tire’ : sur les mots des martyrs et leurs maux sur nos
« murs » sont des refrains sans fin...
C’est Malcolm qu’on éteint,
comme un mal que l’on gomme, évincé pour son art ou encore’ pour son teint...
Mais quel esprit
pourri exalte une âme impure ?
‘Y’a rien de plus
rageur que la fureur fasciste !
Rien de plus ravageur
qu’un facho qui se fâche...
‘Y’a des lanceurs d’alerte’
qui voudraient bien sa perte
Mais...
‘Y’a rien de plus
stupide ou de plus hypocrite
Que de cracher plus
fort pour clasher ceux qui crachent
Ou les pousser encore’ lorsqu’on veut qu’ils s’arrêtent...
Pratiquer les injures’
en dénonçant l’insulte est juste une imposture !
Faire’ de la politique’
comme on tient une’ boutique’, c’est s’offrir un public pour l’ouvrir au marché...
Racoleurs et vendeurs,
fieffés bonimenteurs, ils se croient bons joueurs et ne font que tricher
Mais leur prose est
connue et leur cause est perdue : ces vendeurs sont vendus à leurs maîtres’
inconnus...
Quand notre maison brûle’,
les flambeurs sont ailleurs, les gagneurs sont vainqueurs, les loosers ont
perdu...
L’amalgame’ nous
assaille’ sans souci du détail... On confond et condamne et « race »
et « populace » !
Rothschild, face aux
mouroirs, ne voit que son pouvoir : les maîtres de l’histoire ont l’orgueil
de leur classe !!!
Pour quel cœur incurable,
il n’y’a que ses semblables’ qui seraient admirables’ ? Les autres, méprisables ?
Au nom de quelle’
fortune’, le reste est négligeable ? Au nom de quelle’ misère’, d’autres sont
misérables ?
Combien d’administrés
finiront dévastés sous le joug de nantis qui tutoient les ministres ?
Combien d’argent
placé en dehors des registres’ est volé aux petits que ça voue aux sinistres ?
La cécité morale est
avant tout mentale et l’inégalité est d’abord une idée.
Quant à la mixité prétendument « sociale », elle est souvent réduite à la promiscuité...
Depuis la prime
enfance, on apprend le système’ : l’esprit de concurrence et la
rivalité...
Être meilleur que
l’autre est la norme obligée... Ce qui
pose un problème’, c’est la déloyauté :
Être le plus rusé
permet d’en abuser, de faire’ la différence et de tromper la chance...
Être moins performant
n’est pas être moins digne ; être moins convaincant ne vaut pas l’indigence...
Mais à quelle infamie
est due la forfaiture ?
‘Y’a rien de plus
rageur que les râleurs fascistes !
Rien de plus ravageur
que ces brailleurs bravaches...
‘Y’a des lanceurs d’alerte’
qui voudraient bien leur perte
Mais...
‘Y’a rien de plus
stupide ou de plus hypocrite
Que de marcher plus vite’
que tous ceux qui cravachent
Ou les pousser encore’, lorsqu’on veut qu’ils s’arrêtent...
Dénoncer le courant en poursuivant son cours est juste
une imposture.
Quand un politicien
promet monts et merveilles’, c’est qu’il est en campagne ou parle à des oies
blanches...
Son discours coule à
flots. Il vous mène en bateau et ça ne mène à rien qu’à des effets de
manche...
Où est l’égalité dans
la précarité ? Où est la liberté, face à l’adversité ?
On n’est pas tous
égaux... C’est l’ego qui domine’ ! Que font les dominants de la fraternité ?
L’amalgame’ nous
assaille’ sans souci du détail : qui programme ou proclame et « le
chaud » et « le froid » ?
Du haut de ses
avoirs, une élite au pouvoir ne voit que sa victoire et le monde est sa
proie...
Pour quel cœur
incurable, il n’y’a que ses semblables’ qui seraient admirables’ et tout autre,
minable ?
Au nom de quelle’
fortune’, le reste est misérable ? Au nom de quel mépris serait-il méprisable ?
Le combat est faussé par
la ploutocratie ! Qui veut rendre les armes’ à cette oligarchie ?
Qui peut vendre son
âme à des tribuns véreux dans un scrutin fiévreux, voire à son pire enne’mi ?
C’est le peuple d’en
bas qui souffre dans sa chair : son sort est sans trésor mais c’est
lui qui prend cher...
La folie des lobbies
fait des règnes d’argent. Elle’ fait des rêves’ en or et des règles de
fer !
Qui voit les
attentats sans aucune’ pertinence’ ? Connivences’, évidences’ : qui
veut l’état d’urgence ?
Ceux qui prêtent’
allégeance aux rois de la finance’ ne sont que leurs valets en état
d’impuissance...
Ils ont signé la
dette et rien ne les inquiète... et c’est ainsi qu’ils mettent’ un
« contrat sur vos têtes »...
Les Banquiers en ont
fait les croupiers d’leurs rackets et le butin, c’est nous : nos pays
qu’ils achètent !
Mais de quelle infamie
provient la forfaiture ?
‘Y’a rien de plus
trompeur que les valeurs fascistes !
Rien de plus ravageur,
quand des fachos vous clashent !
‘Y’a des lanceurs d’alerte’
qui voudraient bien leur perte
Mais...
‘Y’a rien de plus
stupide ou de plus hypocrite...
Que de cracher plus
fort pour choquer ceux qui crachent
Ou les pousser encore’, quand on veut qu’ils s’arrêtent...
Dénoncer les injures’ en pratiquant l’insulte est juste
une imposture...
On veut nous opposer
pour mieux nous diviser ; on veut nous diviser pour mieux nous contrôler...
Contrôler, c’est
régner... alors, les jeux sont faits ! Alors, les feux sont prêts et tout
peut s’embraser...
Les quartiers sous
pression, sur le point d’exploser ! Pour produire un chaos, intense et insensé,
Des flux de migration instrumentalisés, on allume un brasier puis on joue les pompiers...
L’amalgame’ nous
assaille’, sans souci du détail. On confond et condamne’ la culture et la
race...
Donald Trump au
pouvoir ne croit qu’à son miroir : pour bousculer l’histoire, il
n’y’a que lui qui vaille !!! ?
Pour quel cœur
intraitable, il n’y’a que ses semblables’ qui seraient admirables’ et
d’autres, détestables ?
Au nom de quelle’
nature’, d’autres seraient incultes’ ? Au nom de quelle’ culture’, d’autres
sont négligeables ?
Le pouvoir des
faucons fait l’effroi des colombes’ et leurs dévastations, un artifice
immonde !
Une’ poignée de
démons, peut faire’ pleuvoir des bombes’ pour donner l’illusion de dominer le
monde...
Les seigneurs de la guerre’
nous voient comme’ des soldats, nous broient comme’ des fourmis pour servir un
empire...
Car ces maîtres d’affaires’
ont besoin de forçats, de leurs vies en pâture’ sous leurs crocs de vampires...
Pour éteindre le feu
qu’ils ont pu allumer en Afrique, en Europe et sur la terre entière,
Ils ont besoin de
ceux qu’ils auront sinistrés et de cartes truquées pour jouer des
frontières.
Leur fureur
meurtrière et leur folie guerrière, ils vont les maquiller de propos lénifiants
Et dans la
fourmilière où ils ont leurs repaires’, on pourra valider leurs projets
édifiants...
Pourtant ils sont
humains,
Parmi d’autres
humains !
La mort n’épargne
rien...
Ni remords ni
chagrin !
Chacun n’est que
victime,
Quelle’ qu’en soit
l’origine...
Même un parrain du
crime
L’est de ce qu’il
machine :
Engendrer la terreur,
C’est finir dans la
peur...
La Paix des jours
meilleurs
Commence au fond des
cœurs !
‘Y’a rien de plus raciste’
que de railler les races’ ! ‘Y’a rien de plus vorace’ que d’en traquer la liste...
A débarquer sur place, à marquer dans la masse ! ‘Y’a rien de
plus tenace’ que d’en tracer la piste...
Mais de quelle
infamie provient la dictature ?
‘Y’a rien de plus
terrible’ que la fureur fasciste
Et que tous les
fachos qui détruiraient la terre...
‘Y’a des lanceurs d’alerte’
qui voudraient bien leur perte
Mais...
‘Y’a rien de plus
sordide ou de plus hypocrite
Que de chasser
l’horreur par des moyens pervers
Ou de la provoquer quand on veut qu’elle’ s’arrête...