La méprise et le
mépris ...
Cœurs éperdus se
rassemblent ...
Trouveront à
vivre ensemble... ?
Que cherche-t-on
dans l’union,
Confidence ou
confession ?
Quand un couple
fait... la paire ...
En complice ou en
compère...
Il se complète :... on renaît ...
Il se répète :... on connaît !!!
Mais, s’il faut, laissons là faire !
Les cœurs plutôt
solitaires
Voudraient
plaire et, cependant,
Restent fiers et
fous fuyants ...
On
ne sent que ses désirs ...
Par
défi d’indifférence !
Quand
on y pense,
On
peut dire
Qu’il
y’a mépris ...
Et faut-il qu’on
se ressemble
Pour se
reconnaître « ensemble » ?
A quoi se voit telle
union ?
Convergence ou
confusion ?
C’est de la
phobie curieuse
Qui rend nos
amours frileuses !
On veut
décrocher le ciel ...
Sans répondre à
son appel ...
Mais alors, c’est
bien « classe hic » !
On entend là qu’une’ muse’tique,
A travers un bel acteur...
Qu’on prend pour
un beau parleur !
On n’écoute’ que ses délires,
Par
déni des différences...
Quand
on y pense,
On
peut rire !
Il
y’a méprise ...
Tout n’est pas
vrai, qui le semble ...
On pourrait se
perdre « ensemble » !
En quoi se vit
toute union ?
Connaissance ou conviction ?
Quand on sent, dans son corsage,
L’amour faisant
son « pas sage »...
Quand le sang
ne fait qu’un tour,
Tous les
discours tournent court !
Tel est pris... peut
se méprendre ...
A quel prix doit-on
se rendre ?
L’âme éprise, à
corps perdu ,
Se retrouve’ra mise à nu...
On
ne voit que son plaisir...
Par
défaut de pertinence...
Quand
on y pense,
Oh !
Soupir ...
Il
y’a « surprise » :
L’hôte est bien
autre, il me semble ...
On gagne à
renaître « ensemble » !
En quoi se vit
toute union...
Complaisance ou
compassion ?
‘Y’a d’la fuite’
dans les idées ...
Des vérités, comme’ damnées ...
Et qu’aura-t-on
dit « cerner »... ?
On n’voit rien, les yeux brouillés !
Qui parle’ de
lâcher l’affaire,
Mais qui part... a dit s’en faire
Pour son tout petit
bout d’lot :
Son petit « je »
de l’ego ...
On
ne sait pas son ave’nir...
Si, cent fois, tout recommence...
Quand
on y pense,
A
vrai dire :
Il
y’a reprise...
J’aime, aussi
fort que j’en tremble
A l’idée de vivre,
ensemble,
Ce qu’on peut
vivre en union :
Connivence et
communion !
Et si, parfois, ça
dérange...
Merci de nous
traiter d’« anges » !
Si ça dérape,
attention ...
Aux « savons à
réaction » !
Cœurs éperdus se
rassemblent ...
Trouveront à
vivre ensemble !
On peut décrocher
le ciel ...
Et répondre à
son appel !
Que, jamais sans avenir,
Pour
toujours, tout recommence !
Mais qu’on
y pense,
Pour
finir !
Et
qu’à sa guise, on se dise ...