mercredi 11 décembre 2013

LA MÉPRISE ET LE MÉPRIS...

La méprise et le mépris...

                                                                                 
Cœurs éperdus se rassemblent...
Trouveront à vivre ensemble... ?
Que cherche-t-on dans l’union,
Confidence ou confession ?                                                                                     

Quand un couple fait... la paire...
En complice ou en compère... 
Il se complète :... on renaît...
Il se répète :... on connaît !!!

Mais, s’il faut, laissons là faire !
Les cœurs plutôt solitaires                            
Voudraient plaire et, cependant,
Restent fiers et fous fuyants...



On ne sent que ses désirs...
Par défi d’indifférence !
Quand on y pense,
On peut dire
Qu’il ya mépris...



Et faut-il qu’on se ressemble
Pour se reconnaître « ensemble » ?
A quoi se voit telle union ?                                     
Convergence ou confusion ?

C’est de la phobie curieuse
Qui rend nos amours frileuses !
On veut décrocher le ciel...
Sans répondre à son appel...

Mais alors, c’est bien « classe hic » !
On entend là qu’une muse’tique,
A travers un bel acteur...
Qu’on prend pour un beau parleur !



On nécoute’ que ses délires,                                    
Par déni des différences...
Quand on y pense,
On peut rire !
Il ya méprise...



Tout n’est pas vrai, qui le semble...
On pourrait se perdre « ensemble » !
En quoi se vit toute union ?
Connaissance ou conviction ?

Quand on sent, dans son corsage,
L’amour faisant son « pas sage »...
Quand le sang ne fait qu’un tour,
Tous les discours tournent court !

Tel est pris... peut se méprendre...
A quel prix doit-on se rendre ?
L’âme éprise, à corps perdu,
Se retrouve’ra mise à nu...



On ne voit que son plaisir...                                     
Par défaut de pertinence...
Quand on y pense,
Oh ! Soupir...
Il ya « surprise » :



L’hôte est bien autre, il me semble...
On gagne à renaître « ensemble » !
En quoi se vit toute union...
Complaisance ou compassion ?

‘Y’a d’la fuite’ dans les idées...
Des vérités, comme’ damnées...
Et qu’aura-t-on dit « cerner »... ?
On n’voit rien, les yeux brouillés !

Qui parle’ de lâcher l’affaire,
Mais qui part... a dit s’en faire
Pour son tout petit bout d’lot :
Son petit « je » de l’ego...



On ne sait pas son ave’nir...                                     
Si, cent fois, tout recommence...
Quand on y pense,
A vrai dire :
Il ya reprise...



J’aime, aussi fort que j’en tremble
A l’idée de vivre, ensemble,
Ce qu’on peut vivre en union :
Connivence et communion !

Et si, parfois, ça dérange...
Merci de nous traiter d’« anges » !
Si ça dérape, attention...
Aux « savons à réaction » !

Cœurs éperdus se rassemblent...
Trouveront à vivre ensemble !
On peut décrocher le ciel...
Et répondre à son appel !



Que, jamais sans avenir,                                         
Pour toujours, tout recommence !
Mais qu’on y pense, 
Pour finir !
Et qu’à sa guise, on se dise...



« Unis dans la différence » !!!!!