Une simple réunion d’intérêts ne suffira plus à combattre les puissances délétères à l’œuvre. En des temps apocalyptiques, seule une union cordiale profondément humaine et fraternelle permettra à tous ses membres de former collectivement une sorte d’égrégore spirituel et moral, une « communion »… gage de résilience, la seule résistance qu’on puisse opposer à l’esprit du mal qui torture le monde. Quelle sera l’ampleur de cette résistance (et donc la taille de cette union) ? La Bible, pour la citer, parle d’un « petit nombre »... Une chose est certaine : il y aura beaucoup d’appelés… mais combien de participants ?
-LA FORCE DE L’UNION CONTRE CELLE DES CLIVAGES…
« Diviser, pour mieux régner ». Cet archaïsme reste l’un des leitmotivs les plus galvaudés dans l’esprit des castes dirigeantes, stratèges émérites de l’imposture mondialisée, magnats retors de la planète. La formule se trouve invoquée çà et là, en haut-lieu, en catimini, dans les sphères du pouvoir, pour justifier la gestion policière des populations ! On voudrait catégoriser les gens, pour mieux ajuster leur contrôle, avant de les reprogrammer. Ostraciser les profils les plus singuliers. Stigmatiser leur différence, leurs disparités culturelles ! On expurge les paradoxes, on tue les marginalités... (tout ce qui pourrait contrarier le formatage souhaité de nos sociétés et qui s'oppose donc aux projets qu'on entend imposer au monde...).
Le Mondialisme exploite les tensions raciales, joue des oppositions entre les religions et les cultures, exacerbe les conflits entre elles (entre l’Islam sunnite et le chiite, entre Orient et Occident… Chrétiens et Musulmans…), dans l’idée qu’elles puissent mutuellement s’anéantir. Il exploite la lutte des classes et les règlements de compte politiques, creuse les failles entre les hommes, les cultures et les ethnies… organise des migrations massives d’exilés qu’il a d’abord chassés de leurs terres par suite de massacres effroyables et gigantesques, utilise ces mêmes migrations pour déstabiliser les Nations-cibles, censées les accueillir au prix de leur stabilité socio-économique. Il s’emploie à intégrer des individus dangereux et des casseurs sans âme, dans les flux migratoires orientés (ce qui indigne les populations accueillantes et ravive l’ostracisme et la xénophobie)… etc.
TOUT ÇA POUR ÇA : Pour faire valoir l’idée que les disparités et les différences sont les poisons de l’humanité et qu’il faut donc y mettre un terme ! Un vaste projet pourrait se nommer « le métissage et le brassage culturel et racial avec destruction des religions puis leur remplacement par un succédané humaniste » qui apporterait LA solution radicale aux conflits endémiques qui sévissent depuis des lustres entre les humains : c’est la solution mondialiste, par le « nivellement et l’homogénéisation » de notre espèce toute entière : « Être tous pareils serait synonyme de tous unis ! ». Les différences, de toute nature, seraient donc un fléau et ne pourraient que susciter des querelles incessantes entre les individus ? La grande hypocrisie du Mondialisme se manifeste bien là : dans la stratégie « action-réaction » c’est-à-dire, créer le problème qu’on se propose ensuite de régler. Pour installer une gouvernance mondiale, le Mondialisme a en effet besoin de faire la preuve que la gouvernance multiple (entendez : les Nations) est une calamité pour le monde. Il va donc s’employer à dégrader la Paix dans le contexte « inter… national… » afin d’obtenir un consensus mondial sur sa proposition de gouvernance unique.
Tout va-t-il donc naturellement si mal entre les hommes, du fait de leurs « différences » ? Mais, d’abord, est-ce que les lignes de fracture entre les hommes sont si évidentes et si nettes qu’on voudrait nous le faire croire ? Que dire de ces judaïstes fustigeant le sionisme ? D’un musulman abjurant violemment le djihad ? D’un bouffon de la République, trublion pamphlétaire sur les ondes à ses heures, façon Stéphane Guillon, Didier Porte… ou Coluche, clown prétendant à la mascarade électorale pour l’accession au grade de Président fantoche ? D’un Balavoine serrant les poings ? Comment recadrer tous ces électrons libres qui jalonnent l’histoire de la politique de notre pays… ou d’ailleurs ? Et qui prouvent que certains esprits sont libres ! Que la différence est utile, au contraire, car elle est source d’indépendance et de richesse de points de vues ! Ces éléments disparates, que sont les lanceurs d’alerte, les insoumis, les dénonciateurs de crimes, les « empêcheurs de tourner en rond » etc. dérangent le système ! Coluche, Balavoine… et tant d’autres, ont pu se battre pour tous, car ils étaient singuliers, parce que leur rébellion n’était pas émoussée, qu’ils n’étaient pas près de devenir des robots à la pensée policée par le rabot mondialiste (qui cherche à araser tout ce qui dépasse de la norme). Vous savez quel fut leur sort !
Et pourtant, c’est sur cette juste tendance humaine à se révolter face à l’injustice que le Mondialisme applique son schéma destructeur. C’est ainsi que le terrorisme radicaliste islamiste est instrumentalisé… exhorté… provoqué ! La démonstration n’est plus à faire, que propager la division au sein d’une nation est un moyen très efficace pour assurer sa maîtrise. Une nation divisée devient rapidement la cible de convoitises ennemies ! N’est-ce pas dans un statut de division que Richelieu avait maintenu nos voisins d’Outre-Rhin, (Princes déchus d’un Empire en déclin), afin d’éviter précisément de les voir s’unir et redevenir une entité bien plus menaçante pour notre Royaume qu’ils ne pouvaient l’être en rangs « dispersés » ?
Mais si on inverse le concept, on peut déduire que l’entente sociale, en revanche, est porteuse de « résilience » ! Les Jean Moulin, Gandhi, Martin Luther King et, plus récemment, un Nelson Mandela… une Aung San Suu Kyi… etc. n’ont puisé des vertus « d’opposition à l’oppresseur » que dans leur connivence profonde avec une frange importante de l’Humanité. Il y a bien des résistances flamboyantes en ce monde ! Cette résistance qui s’oppose à tout mensonge, nos Maîtres-Menteurs n’en veulent précisément pas ! Ils la craignent ! C’est pourquoi ils veulent la désarmer ou la briser dans le cœur des hommes. Par quel moyen ?
Avant tout par l’« isolement ». Lisez cet extrait de leur projet pour notre monde : […] Ceux qui oseront se dresser contre nous en diffusant de l’information quant à l’existence et au contenu de notre « Conspiration », deviendront suspects aux yeux des autorités de leur Nation et de leur population. Grâce à la désinformation, au mensonge, à l’hypocrisie et à l’individualisme que nous avons créé au sein des peuples des États-Nations, l’Homme est devenu un Ennemi pour l’Homme. Ainsi ces « Individus Indépendants » qui sont des plus dangereux pour nous, justement à cause de leur « Liberté », seront considérés par leurs semblables comme étant des ennemis et non des libérateurs. […]*
L’« isolement », ce n’est pas que le « boycott des individus atypiques et insoumis » ! C’est aussi le sort que nous fait la société de consommation qui nous submerge d’informations, images et messages à caractère plus ou moins futile et commercial. Cette société qui multiplie les moyens de communications et les supports d’expression : on a le monde entier sous les doigts avec « Google » et mille fenêtres ouvertes, avec la multiplicité des écrans. On se trouve tellement gavé, occupé par tant de nouvelles internationales, qu’on a l’impression de vivre pleinement ! Ce n’est qu’une impression, justement : on se penche sur le monde sans qu’on soit plus proche d’un voisin de palier. On est abreuvé chaque jour par une soupe médiatique très dense et souvent envahissante. C’est voulu ! On a souvent le réflexe de tout éteindre et de se couper de l’information qui nous sature inlassablement. Ou bien, on survole toutes les informations sans s’y poser vraiment. On deviendrait soi-même… « superficiel » ! C’est calculé ! Une personne gavée d’informations a beaucoup moins le temps de réfléchir ! C’est bien ce que le « système » préfère. Inutile de dire pourquoi…
D’un autre côté, ce qui vaut pour les groupes, les peuples, concerne aussi les états d’âme d’une personne, implicitement. On peut ainsi constater qu’à l’échelle individuelle, la division peut également se traduire par une multiplication de convictions et de sentiments contradictoires qui se soldent, dans le meilleur des cas, en revirements d’opinion, volte-face et brusques changements de positions et/ou de bord politique. Dans le meilleur des cas, on dit de quelqu’un, frappé de versatilité, qu’il est « partagé », indécis… Dans le pire, on constate un phénomène d’inconstance, voire d’inconsistance personnelle et combien de fausses certitudes ? J’en passe ! Déstabiliser, c’est isoler les gens. Isoler les gens, c’est l’autre moyen de diviser les groupes… Bref ! On peut facilement le vérifier : un groupe morcelé, comme une personne, partagée, se montrent indifféremment très « convertibles » et vulnérables aux manipulations de la pensée. C’est par ce biais que les manipulateurs/ marionnettistes du monde vont pouvoir agir, en jouant la double carte « division/isolement » et ceci, afin de vaincre les doxas et les convictions personnelles « de tous et de chacun ». Les plans du Mondialisme sont sans équivoque à cet égard et prescrivent isolement et division au sein de leur infâme stratégie de contrôle des populations !!! Lisez cet extrait du programme mondialiste révélé en… 1985 : […] Un être possédé par ses sens, et esclave de ceux-ci, nous le savons, n'a ni idéal, ni force intérieure pour défendre quoi que ce soit. Il est un "Individualiste" par nature, et représente un candidat parfait que nous pouvons modeler aisément selon nos désirs et nos priorités. D'ailleurs, rappelez-vous avec quelle facilité nos prédécesseurs ont pu orienter toute la jeunesse allemande au début du siècle en se servant du désabusement de cette dernière ! […]*
Il appartient à chacun d’abattre la barrière de ses intérêts égoïstes… repousser les murs de l’isolement, remiser le couperet de ses jugements, souvent partiels, toujours partiaux. L’interdépendance des uns et des autres dans le contexte d’une même appartenance nationale est une évidence très palpable. L’appartenance à la même planète pourrait générer la même solidarité, à une échelle toutefois beaucoup plus vaste !
Mais qu’on ne s’y trompe pas : ce n’est pas le sentiment d’être citoyen ou habitant du monde que le Mondialisme entend arracher au cœur de l’homme. Au contraire, ce sentiment abonde dans un sens que le Mondialisme encouragerait plutôt, l’objectif étant l’anéantissement des identités culturelles nationales. Une des priorités consiste justement pour Le Nouvel Ordre Mondial à insuffler dans l’esprit humain l’idée que plus personne n’est ressortissant d’un pays ou d’un autre mais que chacun l’est de tous les pays, comme s’il était chez lui, partout sur terre… Jusque-là, rien de bien condamnable, au contraire ! Toutefois, l’ambition mondialiste vise à l’effacement de toute culture héritée d’une identité nationale, comme de tout sentiment d’appartenance à une nation. On peut comprendre que pour adhérer au Mondialisme, qui vise l’instauration d’une gouvernance mondiale unique, un terrien trouvera plus acceptable cette gouvernance, s’il est déjà privé de nationalité.
Voilà justement ce qui est inacceptable ! C’est bien cela qu’il nous faut combattre : ce qui peut détruire nos racines ! Un monde qui en serait privé, serait comme privé de boussole… Pour savoir où on va et qui on est, on a besoin de savoir d’où on vient… C’est « bateau », mais pas « tabou », comme le voudraient les mondialistes… Un monde sans repère génère un peuple de zombies, no-life en quête d’identité errant sur tout un no man’s land, sans impression d’y habiter. Le Mondialisme entend pourrir le tableau d’une humanité diversifiée et nuancée pour faire la preuve qu’elle est non viable en l’état et compte remplacer la différence par… l’uniformité (sous contrôle, bien évidemment !). Si tel est le cas, l’uniformité sous-entend qu’on ne pourra plus juger rien ni personne puisqu’étant tous semblables, condamner l’autre, reviendrait à se condamner soi-même… Or…
-ON A LE DROIT DE JUGER SANS CONDAMNER (Au sens de RÉFLÉCHIR… SANS MAUDIRE !)...
Le Mondialisme veut créer un peuple mutant, sur des bases eugénistes et transhumanistes. Un peuple de moutons, sans rébellion. « Consentant, sans se sentir con, (pardon pour la formule !) du moins, sans le ressentir… ». Sans velléité de jugement. Pourtant, la capacité à juger est ce qui fait de nous des êtres autonomes… Pas une armée de robots, comme le prévoit le Mondialisme qui réserve d’ores et déjà ce sort à notre descendance, par manipulations génétiques, si rien n’entrave un tel projet… délirant !
Il ne s’agit pas de juger à outrance, ni à tort et à travers, car il est vrai qu’on juge toujours à tort : on juge l’autre avec un regard superficiel, ignorant son « passif » et cherchant la faute plutôt que le pardon… « Celui que je juge aujourd’hui a souvent des mobiles que j’ignore et le temps le fera peut-être aussi changer, de la même façon que mon regard qui juge aujourd’hui ne juge qu’avec ce qui me constitue aujourd’hui, ignorant que demain je pourrais revoir tout… autrement ! ». C’est la simple histoire d’une paille qu’on a vue aussi grosse qu’une poutre… Elle est vieille comme le monde ! Mais… il s’agit de préserver sa liberté de penser, au moins aussi précieuse que la conscience de son identité. Cette liberté de penser qui nous servira de guide quand on refusera d’obéir simplement aux consignes d’une dictature supranationale, susceptible de développer des pratiques eugénistes, élitistes, déclenchant quelques conflits et autant d’hécatombes, dans le seul but de réguler la démographie mondiale, comme c’est déjà le cas sur quelques champs de bataille…
Aucun Eden ne renaîtra sur les immondices de nos haines fratricides… cultivées par ces jardiniers de malheur qui sont les chantres d’un Nouvel Ordre. Aucun chant de sirène ne nous mènera à bon port. Il nous ferait chavirer avant de nous laisser jeter l’ancre. Dans les ténèbres, seule la lumière couronne un phare. Ce qui nous obstrue la vue, ne peut pas nous guider ! Le Nouvel Ordre Mondial nourrit ce dessein : créer une masse d’individus déshumanisée, productive et soumise au bon vouloir de l’élite ; du « peuple élu » ; Un monde en deux camps : Une poignée pour des millions… Des millions pour une poignée ! C’est ainsi que le Mondialisme compte partager les richesses terrestres…
C’est dire qu’en écoutant « aveuglément » les bobards du Pouvoir dominant sans vouloir y voir clair pour y croire… (ou pas !) vous vivez un remake de Matrix… Bienvenue dans la matrice !
-DE LA PAROLE A L’ACTION… LES RÉSEAUX…
La parole, qui est humaine, sans action, reste vaine. Elle peut être « stimulante, vivifiante, rassérénante »… Mais aussi « déconcertante », « affligeante », « superficielle », « démobilisante »… Dans le projet mondialiste, elle est censée faire diversion… sur les réseaux, dont les leviers supérieurs appartiennent aux puissants de ce monde, NE L’OUBLIONS JAMAIS. Elle est favorisée tant qu’elle accapare les esprits, canalise les tensions, dissuade les individus d’agir et, surtout, tant que leur occupation essentielle reste virtuelle, prenant le pas sur leur condition réelle. Il faut se garder du verbiage, également, auquel le système encourage. Tous ces mots dits pour plaire ; toutes ces joutes qu’on ajoute à… « nos jeux de l’ego »… Les bons sentiments, qui fleurissent partout sur le net et qui s’évaporent aussi vite qu’un parfum de printemps, restent de bons sentiments. Sans effet.
On fait l’« état des lieux »… On dresse des bilans désastreux… On pointe l’argent comme la cause de tous les maux… On affirme qu’il faut y renoncer (mais on ne dit pas avec quoi, dans ce cas, payer son dernier loyer !). On en appelle à l’Unité sacrée des peuples. On reprend les mots de l’indien Seattle : « Quand vous aurez épuisé toutes les ressources de la terre et du ciel, vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas ! »… Tout ça, avec des mots ! OUI mais, voilà : L’indien Seattle avait déjà tout dit… en 1854 ! Et qu’a-t-il fait changer grâce à ces belles paroles ? Que ces paroles prophétiques soient toujours d’actualité depuis plus de 150 ans démontre bien que ce cri d’alerte n’a rien empêché du tourment planétaire dont le bilan en termes de destructions écologiques et de drames humanitaires est tout simplement catastrophique, si on fait le point un instant sur l’état de santé de notre terre, toutes dimensions confondues. On exhibe un bel idéal. On se flatte même de vivre « autrement que dans le sens mainstream ». On prétend avoir rompu le cercle vicieux, les chaînes du mal, parce qu’on aurait renoncé à ses chaînes de télé ! On se targue de recevoir des amis, de partager une bonne bière devant un bon match de rugby/football/tennis/basket/un spectacle festif... etc. (donc, si je comprends bien… pas devant un écran ??? Eh bien, si ! Le plus souvent, devant, je le crains, alors même qu’on prétend renoncer aux programmes télévisés, pour manifester sa liberté ! Cherchez l’erreur !). On prétend par-là se consacrer à la VRAIE VIE… Bref ! On se dit ouvert et sans parti pris, sans discrimination religieuse ni raciale. Humain parmi les humains ! On affirme crânement, parfois, que l’Humanité reste à créer ! (Ce n’est donc pas en tant qu’humain qu’on aura exprimé cette pensée ? Bah ! non… puisque l’humain serait encore… à venir !).
Mais on dit tout cela… où ? Précisément là : sur les réseaux qui sont créés à cette fin. Certains beaux-parleurs s’y défoulent et ça soulage ! Ça a d’ailleurs été créé pour ça, par ceux qui les possèdent et qui font partie de la classe qui dirige le monde. Les explosions de colère ou d’indignation sur les réseaux sont des pétards mouillés ; des ballons de baudruche qui font pschiiittt ! Est-ce qu’on va changer le monde en s’égosillant bien gentiment et bien confortablement devant son écran, à l’abri des intempéries où, quand on « se mouille » vraiment on ne risque pas la vie mais « une suspension voire, une fermeture de compte, au pire ! » (qu’on rouvrira sous un autre pseudo !)… « Pouvoir dire ce qui soulage avec le sentiment que ça changera quelque chose à l’Ordre du Monde, alors que pendant qu’on croit avoir fait preuve d’utilité, eh bien… on s’est juste « rassuré soi-même », sans que ça n’ait pu empêcher une seule bombe d’exploser sur les trop nombreux « théâtres d’opérations guerrières de la terre ! », c’est justement le rôle que les Maîtres du monde ont attribué à « leurs » réseaux sociaux ! Vous comprenez le paradoxe ! Quand on claironne : « CESSONS D'ÊTRE ESCLAVES DE LA COMMUNICATION DE NOS MAÎTRES, SOYONS MAÎTRES DE LA COMMUNICATION !»… Où ça ? Sur ces mêmes réseaux sociaux… c’est qu’on n’a pas encore réalisé qu'on est déjà tributaire de moyens de communication qui appartiennent à ces maîtres. Ne voit-on pas que si ces moyens n’existaient pas, on n’aurait jamais pu partager son indignation ? Et que si c’est possible, c’est que cela fait partie du « programme » ; que c’est voulu, prémédité, encouragé !!!? En fait, on suit exactement les plans mondialistes, à travers cette indignation stérile, car éphémère et redondante, qui paraphrase des centaines de penseurs et de grands esprits qui nous ont précédés (comme on vient de le constater avec les mots de l’indien Seattle, qui n’en serait même pas l’auteur… ce qui ne change rien, d’ailleurs !). On se prendrait presque pour un prédicateur de la conscience humaniste !!! Et on officie où ? Dites-moi, dans quel temple, quelle basilique ? LES RÉSEAUX ! qui appartiennent aux ennemis de l’humanité !!! Il y a là comme un hiatus !!! Vous ne trouvez pas ? Nouvel opium du Peuple, la religion cathodique a donc troqué ses circuits imprimés contre des circuits « dérivés » : les réseaux sociaux ! Le Programme mondialiste avait prévu de très longue date d’en faire un défouloir psychologique : « la guerre molle »… qui combat la vigueur d’un peuple en lui proposant une déclinaison de… soit, un vedettariat de pacotille, soit… une vaine exubérance ou, soit encore, un détournement de l’attention vers des sujets futiles, pendant que les vraies causes resteraient grandement désamorcées par l’impression que d’en parler entre amis internautes puisse avoir un impact quelconque sur leur réalité, chaque individu y trouvant chaussure à son pied en fonction de sa personnalité propre. Lisez ce qui fut voulu de longue date par les maîtres manipulateurs de la planète : […] cet Homme n'attend plus, en définitive, que lui soit proposé une nouvelle idéologie. Celle-ci, bien entendu, est la nôtre ; celle du "Village Communautaire Global" dont il sera le "Centre". Et c'est précisément ce que nous lui apporterons en l'encourageant à faire partie, "Corps et Âme", de ce "Réseau Électronique Mondial" où les frontières des États-Nations auront été à tout jamais abolies, anéanties jusqu'à leurs racines les plus profondes. Pendant que cet homme égaré sera absorbé par son enthousiasme aveugle à faire partie de sa nouvelle "Communauté Mondiale" en faisant partie de ce vaste "Réseau d'Ordinateurs", pour notre compte, nous verrons, à partir des leviers supérieurs qui lui seront cachés, à le ficher, à l'identifier, à le comptabiliser, et à le rentabiliser selon nos propres objectifs. […]*
Pour autant, la parole existe pour s’en servir. Si elle peut être ambiguë, elle peut aussi être informatrice parfois, sur quelques supports (quelques médias dissidents ; sous la « plume » de quelques journalistes de bonne foi et sur le clavier de pas mal d’internautes souvent indignés. Simplement sincères !). Hélas, trop souvent, la parole est désinformatrice (cf. les médias mainstream)... En somme, la parole a deux tranchants : la vérité et le mensonge… A chacun de choisir un camp !
-LE MENSONGE ET LA VÉRITÉ...
Les motivations du Mondialisme nous sont officiellement dissimulées. On ne doit qu’à quelques pionniers de la contre-enquête de les avoir extraites de leur gangue de mystère épais… Ce fut le cas de Serge Monast et du père Régimbald, voici plus de 30 ans. […] Serge Monast -tout comme le Père Régimbald- fut l’un des pionniers de la lutte contre le Nouvel Ordre Mondial, alors même que celui-ci n’était encore dans les médias de l’époque qu’une « théorie du complot » limitée à 2 ou 3 énergumènes plus ou moins dérangés, avant de devenir aujourd’hui l’objectif, voire l’obsession, des Grands de ce Monde et de leurs (très) puissants Maîtres. […]*
Les francs-maçons qui nous trompent veulent rebâtir leur Tour de Babel. Ils ne sont ni maçons, ni francs. Ils sont poseurs de bombe à Manhattan… tombeurs de stèles à Palmyre… Leurs échafaudages ne soutiennent pas l’édification de la « Justice Mondiale », étant plantés dans la fange des mauvais penchants humains, fondés sur des mensonges créés de toute pièce dans les loges d’ultimes degrés. Nous nous écroulerons, avec eux, si nous nous appuyons sur eux. Les grands médias dits « mainstream » sont les fers de lance propagandistes du Mondialisme, en même temps que la propriété matérielle de ses élites. Ils sont des rouages nécessaires pour broyer toute vérité qui dérange ou la défigurer au point que personne ne la reconnaîtrait ! Tout le stratagème mondialiste repose sur un socle de mensonges : le grand CIRCUS MEDIATICUS qui fera intervenir son « Deus ex Machina » auquel le monde se confiera, le moment venu ; « L’Antéchrist de légende », annoncé depuis plus de deux-mille ans, par des voies(/voix) prophétiques… Ce ne sera pas l’épilogue de notre Humanité mais à l’heure du renouveau spirituel, qui devra bien s’en suivre, l’Homme redécouvrira « qui » il n’a JAMAIS CESSÉ D’ÊTRE ; quel destin il aurait dû avoir connu, s’il avait mis un terme à sa « mégalomanie autistique », le tout occulté par des siècles de mensonges bien orchestrés et enracinés dans des mœurs collectives très éloignées de ses aspirations, ces dernières étant dans le fond très simples et naturelles. L’esprit du Monde, fondé sur des valeurs concurrentielles et l’accomplissement du « Moi-Je », n’a jamais comblé les amoureux de la vérité et de la Liberté (en quête de les rencontrer). L’EGO A TOUT FAUSSÉ ! L’humilité, qui est son antidote, est la seule voie pour s’en approcher. Aucune dictature ne pourrait nous désunir et fomenter tant de guerres et de génocides, si nous étions... simplement qui nous sommes déjà, mais que nous oublions si souvent d'être : des frères humains...
-LA LIBERTÉ… LIBERTAIRE...
Qu’est-ce que la liberté, sans bornes et sans repère ? Un « bad-trip suicidaire » !!! Le contre-pied fatal qu’on pourrait opposer aux prétentions du Mondialisme, pourrait consister en une mutinerie planétaire, aux allures de « coming-out international »… La Révolution de la pensée… ou la pensée révoltée… Le réveil de la conscience dans un monde sans conscience… Tout cela, pour bouter, hors de nos terres, des tyrans et leurs cortèges de misères ! Pour… cesser d’offrir du crédit à ceux qui ont pu subtilement nous vendre le droit de financer « leur Confort et leurs Pouvoirs » et ceci, par le truchement d’artifices et d’expédients fallacieux… Par des sortilèges de duperie et la fascination de belles promesses jamais tenues, si ce n’est au bénéfice exclusif de ces profiteurs de misère « eux-mêmes », auteurs de rackets et banksters machiavéliques, perfides… cupides ! Alors que nous étions juste « stupides » de les avoir crus sur parole, parce qu’ils maniaient bien le verbe et le jargon de « leurs affaires », dont ils étaient les experts ! La tristement célèbre « dette », par exemple, créée de toute pièce et sur mesure pour assurer un train de vie surréaliste à quelque 1 pour cent des terriens parmi lesquels se trouvent agglutinés les plus riches individus de la planète : le règne des Goldman-Sachs et Rothschild et Rockefeller… et tous leurs acolytes et comparses commissionnés en pots de vins juteux : nos politiciens, nos managers véreux… Nos judas mesquins grimés en bons samaritains, enjôleurs et bateleurs, rois d’un bonneteau dont nous aurions été le fan club le plus naïf qui soit : des pigeons plumés qui réclament encore la casserole où se faire doucement rissoler ! On les aura juste fait « doucement rigoler » ! Mais eux… ces raptors, ces vautours affamés de la pire espèce… ils n’auront fait qu’une bouchée de nous et nos destins auront été scellés par des receleurs de bonheur avarié ! Les conflits, orchestrés et financés de tous les côtés par les mêmes financiers de l’ombre : toujours ces mêmes dynasties régnant sur le globe… Ils auront tout maîtrisé, à vrai dire ! Les protocoles et autres procédures dont ils gardaient l’apanage, sans jamais en céder les droits… Les agences de notation qui auront renvoyé les Nations à leurs études, comme des écoliers soudain intimidés par la docte sentence de leurs censeurs infaillibles et redoutables, comme des gamins, la tête dans les souliers, assez « cancres » pour être copieusement houspillés par de jeunes profs prétentieux, soudainement drapés d’autorité… lesquels auront pris un malin plaisir à humilier leurs « élèves » en public, afin de bien montrer à tous… qui était le Maître ! Sauf que les élèves en question… ce sont les Nations elles-mêmes, qu’il faut bien conspuer pour souligner leur soi-disant incapacité à gérer les « affaires » et donc pour souligner leur incompétence et, par voie de conséquence, leur inutilité, laissant admettre l’intérêt à les voir simplement « disparaître » ! (Ceci n’étant bien sûr qu’une manigance conforme au projet mondialiste de destruction des Nations, justement ! Je le rappelle encore !). Ces Nations, multimillénaires pour certaines, à la culture « olympienne » (vous situez ?) auront été bafouées, humiliées ridiculisées par qui ? Par de petites agences de notation, les Moody’s, Standard & Poor’s… Fitch et autre cabinet conseil Mc Kinsey, etc., un petit cercle de boutiques très « kitch » dirigées par des ex-gratte-papiers agités au passé de boutiquiers totalement inconnus du grand public, la veille encore : des petits comptables dont les heures de gloire se résumeront à leur tableau de chasse improvisé, se la jouant « grand veneur », chasseurs de prime et coupeurs de tête. Ils auront toisé… la Grandeur et le Prestige des Pays, puis réclamé leur tête, précisément, depuis leurs fauteuils de petits patrons, bien à l’abri dans leurs quartiers d’affaires et derrière leurs comptoirs aux vitres teintées (en mode « privé »)… Ces experts-comptables, redresseurs de torts… totalement surestimés… Ça ne vous rappelle rien ? Non ? Alors je le redis : le vaste canular de l’histoire reformatée par « nos vainqueurs » sortis « grandis » de la guerre financière déloyale qu’ils nous avaient livrée, sans qu’on s’aperçoive, même, qu’ils nous la faisaient ; sans même nous laisser découvrir que nous en étions sortis grands perdants, ce qui est le comble de la ruse ! (On dit bien que la plus grande ruse du diable est de faire croire qu’il n’existe pas ! Non ?)… Bon ! Une fois que tout ça est dit… et redit… (mieux vaut deux fois qu’une !), que reste-t-il à faire ? Restaurer les privilèges perdus ? Compter nos espoirs en déclin ? NON ! SÛREMENT PAS ! LAISSONS LA MORT A LA MORT ET OFFRONS NOS VIES A LA VIE ! Sans pourtant renouveler les mêmes erreurs…
Doit-on changer de système ou changer le système ? On devrait le bannir, en vérité ! Rebattre les cartes une bonne fois pour toutes et choisir un monde nouveau… qui nous attend là, quelque part, dans une dimension oubliée. Le « jardin d’Éden » de l’enfance virginale de notre terre n’est pas mort-né dans ses langes, on l’a juste oublié ! On peut le retrouver ! Ce n’est pas un délire de Bisounours...
-DE L’UTOPIE A L’IDÉAL : UN MONDE SANS ARGENT…
Il ne faut pas reproduire ce qui n’a pas marché, ce qui nous a amené cette punition : la société consumériste et insipide dont nous prenons aujourd’hui conscience de la vacuité et du lamentable fiasco ! Nous portons en nous des trésors d’empathie et une certaine trilogie plus chrétienne que républicaine (la vraie : pas ce qu’on en a fait !) ne cesse de résonner dans nos cœurs comme à l’unisson du monde entier : cela, nous l’avons constaté, lorsqu’après les attentats du 13 Novembre dernier, les capitales du monde se sont parées de nos couleurs… S’il existe une exception française elle se grave en trois mots : « Liberté… Égalité… Fraternité » ! L’immense portée de ces trois mots pourrait d’ailleurs contenir le charisme de l’âme française que la planète se plaît à relayer ! Concrètement, si on y regarde bien, ces trois mots sont d’une exigence terrible ! Est-ce qu’on les vit vraiment, parce que de temps en temps on se réunit autour d’une table garnie pour partager quelques agapes, un repas convivial ou frugal entre amis ; Parce qu’on se révolte la « Nuit, Debout », à grand renfort de canettes et d’« herbe à fumer » ? EST-CE QUE, ce faisant, ON A VÉCU le verbe AIMER, je n’en suis pas sûr du tout ! Et si le bonheur se trouvait justement là : dans l’acceptation de vivre ce mot plutôt que de le porter aux lèvres sans lui donner corps dans la vraie vie ? C’est une utopie, penserez-vous ? Rien n’est moins sûr ! Il s’agit de comprendre qu’on fait non seulement partie du système, mais qu’on EST le système ! Le véhicule que les mondialistes emploient dans leurs manœuvres propagandistes, c’est nous ! Ils nous laissent écrire sur les réseaux que nous avons à construire l’Humanité fraternelle et que c’est la solution ultime pour définitivement abattre l’hydre oligarchique !
Si c’était efficace, ce serait impossible. Aucun pouvoir qui maîtrise son domaine (c’est le cas des réseaux sociaux) ne laisserait s’y déployer des discours qui lui seraient fatals… Et si vous pouvez me lire ici, c’est que mes mots ne vont pas détruire le système, croyez-moi ! On nous dit : « Il faut encore CRÉER L’HUMANITÉ ! », qui resterait donc à « créer » ? Qui n’existerait donc pas encore ou ne serait qu’à son balbutiement ? « Créer l’Humanité », n’est-ce pas justement ce que les francs-maçons ont prétendu vouloir faire voici plus de 200 ans ? Ne se disaient-ils pas tous « frères » ? Ne plaçaient-ils pas l’Humanisme au-dessus de tout pour recréer un monde sans idéologie et sans religion ? On voit bien ce que cela nous a donné : ce sont les francs-maçons qui, prétendant soustraire l’Homme à toute transcendance, sont aujourd’hui les destructeurs de l’Humanité… Ils ont chassé Dieu et toute référence à des racines religieuses… Que s’est-il alors produit ? La nature a horreur du vide dit-on… De la même façon : chassez radicalement l’idée de Dieu de votre vie et vous verrez rapidement celle d’un « diable » (qu’on l’appelle comme on veut...) arriver, quelle que soit son « incarnation » ! Vous le verrez s’insinuer insidieusement dans votre quotidien, comme ce fut le cas chez les francs-maçons, précisément, dont la plupart ignorent (qui se situent dans des loges de degrés inférieurs ou moyens) qu’au 33ème et 34ème degré… c’est bel et bien une sorte d’« entité » qui règne ! Et que cette entité règne à l’insu des frères maçons qui n’en sont que les serviteurs naïfs…
La pointe de la pyramide… (Vous savez : le symbole maçonnique omniprésent dans notre monde !) écrase et méprise la base sur laquelle elle repose, au grand dam de ladite base qui est bien incapable de voir ce qui pèse en fait sur elle (puisqu’elle ne dispose pas de perspective, ni d’aucune visibilité de ce qui la domine). Ça se comprend ! Chez les francs-maçons, tout est cloisonné et tout se déroule dans le plus grand secret… SI LA FRANC-MAÇONNERIE ÉTAIT UN EXEMPLE DE FRATERNITÉ HUMAINE qui aurait réussi en se passant de toute TRANSCENDANCE DIVINE OU MORALE, eh bien ! C’EST RATÉ ! (Se vouer à la franc-maçonnerie est franchement une connerie… CQFD !) Affirmer qu’il suffit de construire l’Humanité dans un esprit humaniste, c’est reproduire pour la nième fois le credo franc-maçon… Chacun voit ce que cela a pu donner !
[C’est ici que la lecture de cet article pourra déranger un tant soit peu les consciences... Non ? Mais, si oui : pas d’inquiétude ! C’est juste normal ! (N.D.L.R.)]
L’expérience d’une vie communautaire, respectant à la fois les nuances et les différentes aspirations (sincères) de l’Homme et prodigue d’un VRAI BONHEUR est possible !!! Elle requiert cependant deux qualités essentielles : l’humilité et la fraternité, dont l’intime liberté et l’égalité sont deux déclinaisons. Elle ne peut avoir lieu que sur la base d’un dépouillement de soi, c’est-à-dire de tout ce qui ne relève que de l’artifice et s’avère finalement factice... Elle appelle à l’authenticité, comme à l’intériorité : écouter battre son cœur et chercher la voie du meilleur accord entre son infime intuition, son « ultime résonance » (qu’on ne découvre qu’en y croyant déjà), et l’expression qu’on lui réserve dans le quotidien du monde, du réel en toutes ses dimensions, avec ses bienfaits et ses tribulations. La simplicité dans la complexité ! Si évidente et si contrariée. Si proche et si lointaine, à la fois. Un seul précédent de réussite (concrète) a réellement existé ! Sur un plan historique... En fait, rares sont les exemples réussis d'une collectivité ou communauté où les procédés inégalitaires et concurrentiels de répartition des richesses furent totalement écartés du champ social. Parmi ceux-ci, un exemple fameux, mais qui (malheureusement !) n'a pas su perdurer, existe dans notre histoire. Le voici décrit dans... les « Actes des Apôtres » (nouveau testament) : [...] La multitude de ceux qui étaient devenus croyants avait un seul cœur et une seule âme ; et personne ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais ils avaient tout en commun. [...] Aucun d’entre eux n’était dans l’indigence, car tous ceux qui étaient propriétaires de domaines ou de maisons les vendaient, et ils apportaient le montant de la vente pour le déposer aux pieds des Apôtres ; puis on le distribuait en fonction des besoins de chacun. [...]
Ne le citez pas ouvertement, car dans nos sociétés régies par tous les principes cités plus haut, ce type de communauté passe pour une douce hérésie, une chimère ou pire, une pure fabulation ! Il est vrai qu'il s'oppose radicalement au vaste projet mondialiste qui, sous couvert d'humanisme, est destiné à détériorer comme jamais les conditions de vie de l'Humanité. Et pourtant, Dieu sait qu'elles sont déjà, globalement, purement démentes !
Voici deux mille ans qu’un homme, nommé Paul de Tarse, désignait l’argent comme « la source de tous les maux ». Le Christ avait énoncé : « Rendez à César ce qui est à César… », c’est-à-dire : « Rendez l’argent aux usuriers et à leurs sbires ! ». Le Christ évoquait déjà la perversité de l’argent sur laquelle nos sociétés se sont toutes édifiées… et l’impérieuse nécessité de s’en départir.
Les premiers Chrétiens nous avaient ouvert cette voie. Ils furent poursuivis par leurs ennemis (sans doute ancêtres spirituels des tyrans qui nous gouvernent aujourd’hui ? !). Et les communautés furent démantelées. Leurs membres, pourchassés… torturés, dispersés… Il faudrait sans doute reprendre « leur flambeau » ! ? Nous serions entravés dans cette démarche, à n’en pas douter ! En attendant, renouons avec l’esprit des communautés de PARTAGE ÉQUITABLE, à défaut de pouvoir en appliquer toutes les lettres. Ce n’est pas une chimère. C’est un idéal ! Les premières communautés chrétiennes l’avaient expérimenté et parfaitement réussi… Seules les foudres de leurs persécuteurs juifs et romains les avaient éparpillées. Mais le Christ nous a livré les mots et la clé de l’harmonie entre les peuples, comme pour chacun de nous… Je suis convaincu qu’il faudrait enfin commencer à mettre ces mots en application, réellement. Concrètement !
En voici l’« esprit » :
NE FAIS PAS A TON PROCHAIN CE QUE TU NE VOUDRAIS PAS QU’IL TE FASSE…
FAIS POUR LUI CE QUE TU AIMERAIS QU’IL FASSE POUR TOI…
Ces mots sont terriblement exigeants. Oui, mais… en les sortant juste du domaine de l’utopie où on les relègue souvent, on vérifierait alors que cet Idéal est très praticable. Il est toutefois combattu par des forces qui nous dépassent (je me comprends…). Sans doute aura-ton besoin de forces qui nous dépassent également (mais dans un sens positif, pour le coup !) afin de réussir (enfin !) ce pari, à vues humaines, insensé !
Seul un chemin d'humilité vous conduit à la vérité.
Le comprendre, c'est avant tout l’apprendre !
Comprenne qui voudra.
*: Extrait de : https://www.artemisia-college.info/_media/bv000012.lkdoc.laurore-rouge-comment-manipuler.pdf
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