Predators... Les Prédateurs...
Ils
nous demandent’ de marcher droit sur leurs chemins trashs et tordus...
Mais... se cachent’ à l’abri du droit et nous arrachent’ des sommes’ indues
Qu’on
leur paie cash avec nos vies, en vue d’un racket planétaire...
Chacun
de nous en sait le prix : « la loi du marché des banksters » !
‘Faudrait
qu’les honnêtes’ gens comprennent’ : « l’argent qu’ils avancent’ nous
endette » !
Ce
qu’ils nous prêtent’, ils nous le prennent’ ! Cette’ redevance’ s’appelle’
« la dette » !
Et
c’est bien ça qui nous inquiète’ : quand on se prête à cette arnaque,
C’est
nos pertes’ qui font leurs recettes’ ! et c’est comme’ ça qu’ils nous
matraquent !
Depuis
mille’-neuf-cent-treize, en vrai, des gouvernants sont gouvernés
Par
les dieux d’la planche à billet qui ont spolié leur dignité !
Aujourd’hui sont-ils les valets d’un système’ qui les a éle’vés
Pour
employer, comme’ des champions, ces p’tits pions sur leur
échiquier ?!!!
C’est
comme une’ mafia qui finance’ la maladie et le remède !
Comme’
Big Pharma ! « C’est dans l’urgence’ des attentats qu’on crie à l’aide » !
Qui
peut confier sa liberté ou sa santé à qui l’attaque ?
Qui
va trouver la vérité dans des arcanes’ qui la détraquent ?
Les
auteurs de mille exactions ne sont jamais dans l’inaction :
Les
promoteurs de pollutions sont prometteurs de solutions !
Trump
ne peut pas « trumper » tout l’monde ! et pas tout l’temps
et pas partout !
Dans
sa tête, ‘y’a sûr’ment des bombes’... qui seraient son ultime atout !
Il
n’est pas l’seul sur la planète à vouloir bousculer l’histoire...
Hélas !
quelques factions sont prêtes’ à dévaster nos territoires !
Quelques
dirigeants sont séduits par nos « trois huit » et leurs
« trois six » !
Pour
nous tenir à la merci d’un ordre immoral et factice !
Le
Trumpisme et le Poutinisme’ sont deux fronts du Suprémacisme !
Djihadistes’
ou impérialistes’, colporteurs d’américanisme,
Erdoganistes’...
et cetera... tous les fachos sont des machos !
Dans
leurs bras d’fer et leurs combats, ils cherchent’ avant tout le KO !
Leur
main tendue vient de « très haut... », pour nous abattre ou nous soumettre
A
leur ego qu’ils ont très gros, tant qu’on les salue comme’ des
Maîtres !
Ont-ils
rétabli l’esclavage’ dans nos sociétés d’addictions ?
Ont-ils
bien redoré nos cages’, pour qu’on s’attache à leurs prisons ?
Car
ce n’sont jamais les patrons qui tiennent’ la pelle ou la gamelle
Mais
ils peuvent’ manier le bâton et ils savent’ tirer les ficelles !
Les
consommateurs d’« univers... » sont consumés par leurs besoins !
Et leurs besoins sont délétères’ pour eux-mêmes’ ou pour leurs voisins !
Les
contrats de précarité, les taux et les « sévices’ bancaires »...
Tout
dépend d’une autorité et d’un étau qui se resserre,
Qui
vous enserre et vous agresse avec des règles’ antisociales...
Pour
que le genre humain régresse’ vers sa condition animale !
Qui s’en prend au
vivant pour fuir sa propre mort ?
Qui veut la déborder
pour lui survivre encore ?
Lui sacrifier des
corps pour ménager le sien ?
Qui s’donne’rait tant
de mal pour conserver ses biens ?
Ceux à qui
s’adresse’ ce message, en dépit de tous leurs carnages ! :
« Vous
dressez des châteaux arrogants sur du sable
Et sous de « faux drapeaux » simplement détestables !
Vous prendrez des
râteaux, car vos plans sont instables !
Tout finit par
passer et tout va s’effondrer !
Vous serez
dépassés !
Car votre sablier
n’est pas inépuisable !
Ce qui défie le
temps
Ne dure’ jamais
longtemps !
Chacun est
prisonnier de ses enfermements !
Vos secrets sont
amers et marqués par la poudre...
Vos projets sont à
terre ou masqués par la foudre !
Vous avez arboré
l’anthracite’ des ténèbres...
Vous avez honoré
tant de principes’ funèbres !
Qui sent la fin du
monde ?
Ou simplement du
vôtre ?!!!
Et la terreur
immonde
Dont la douleur
inonde’ le cœur des bons apôtres ?!!!
Vos desseins
délirants sont servis par les armes
De vos armées sans
âme...
Vrais mercenaires’ mais faux rebelles !
Et vos frontières’
nouvelles’ sont tracées par les vents
De vos guerres’
meurtrières’, pour des profits mortels
Aux résultats
déments !
Tiraillé par
l’argent, le destin des tyrans ne fait jamais long feu !
A part juste...
en enfer ! Qui le voit de ses yeux ? Qui en doute’rait pour
eux ?
Qui le redoute un
peu ? »
‘Faudrait se tourner vers « Demain » pour vérifier qu’on fait
fausse’ route !
Et pour ceux qui ne doutent’ de rien, il s’rait temps de s’mettre à
l’écoute !
Il
est grand temps d’agir (encore !) au-delà des effets d’surprise !
Oh !
Big Brother, sors de ces corps... qui s’« Van Dammisent’ » ou
s’« vampirisent » !
Sait-on
qui s’enrichit des guerres’ ? Ce sont les saigneurs de la Terre !
Ils
sont au sommet d’leurs affaires’ qui prospèrent’ sur un tas d’misères !
Leur
pouvoir est pyramidal... et leurs ambitions, abyssales !
Leurs
hommes’ de paille’ font tout l’travail ! Eux ? Ils n’ont jamais les
mains sales !
C’est
leur âme’ qui est ténébreuse’, leurs pensées qui sont dangereuses !
C’est
leur haine’ qui est ravageuse et leurs intentions, désastreuses !
A
qui profitent’ tous les conflits ? Non ! Il n’y’a pas d’pays
maudit !
‘Y’a
qu’des spéculateurs pourris ! Qui le sait ou qui l’a compris ?
Les
soldats tombés au combat n’ont jamais pensé à tout ça !
Comme
au Vietnam et où qu’ce soit, ils ont offert leur vie, cent fois,
Pour
du pétrole’, des protocoles’ ! Pour des Pouvoirs et leurs pactoles !
Utilisés
comme’ des guignols, ils ont rendu leurs mamans folles !
Quand
Patton les menait au front, étaient-ils des libérateurs ?
Si
Poutine’ fait bonne impression, quel est l’sort de ses détracteurs ?
Qui
a financé toutes’ les crises’ ? Qui pourrait danser sur nos
tombes ?
Qui
bâtit, sur ce qu’il divise, un empire’ qui domine’ le monde ?
Pendant
qu’Donald « trumpe’ » l’Amérique... ou sa femme... il lance’ des
smileys !
On
le verra tweeter des « piques’ », bientôt, dans l’journal de Mickey !
Ou
bien sur les pages’ de Play-Boy... (enfin, j’veux dire’ sur des « playmates ») !
Et, pendant qu’il tweete’ comme un troll, il désole’ tous les diplomates !
Dans
ce monde en triangle’, ça n’tourne’ pas bien très rond !
Il
faut rester carré... pour manier l’opinion,
Imposer
ses excès, trahir ses amitiés ?
Remporter
des succès ! Faire envie, pas pitié !
Qui veut tuer la
vie pour subjuguer la mort ?
Qui croit
l’amadouer pour lui survivre encore ?
Lui sacrifier des
corps pour conserver le sien ?
Qui s’donne’rait
tout ce mal pour ménager ses biens ?
Ceux à qui j’adresse’
ce message... un défi à tous leurs carnages ! :
« Vos secrets
sont amers ou couverts par la poudre...
Vos projets sont à
terre ou traqués par la foudre !
Vous avez adoré
l’anthracite’ des ténèbres...
Vous avez arboré
tant de principes’ funèbres !
Qui sent la fin du
monde ?
Ou simplement du
vôtre ?!!!
Et la terreur immonde
Dont la douleur inonde’
le cœur des bons apôtres ?!!!
Vos desseins
délirants sont servis par les armes
De vos armées sans
âme !
Vrais mercenaires’ ou faux rebelles !
Et vos frontières’
nouvelles’ sont tracées par le vent
De vos guerres’ meurtrières’ et vos profits mortels,
Aux résultats
déments !!!
Dévoré par
l’argent, le destin des tyrans ne fait jamais long feu
A part... juste en
enfer ! Voyez-le de vos yeux ! Croyez-le, juste assez !
Redoutez d’y
brûler !
Vos serments de
serpents sont remplis de venins
Aux relents inhumains...
Vous avez honoré
le prince « HIP » des ténèbres !
Mais toute ombre
amassée est absence’ de lumière !
Elle’ n’est que
son revers comme’, pour l’eau, le désert !
Et pourtant, la
lumière est mère’ de Vérité...
Celle’ que rien
n’oblitère... à part nos cécités !
Et pourtant, la
lumière est la seule’ Liberté !
Comme un phare’
salutaire’ dans nos nuits solitaires ;
Comme un fond
d’oxygène’ dont nous sommes’ tributaires ;
Un noyau d’ADN qui
nous rend solidaires !
Notre seule’
chance’ d’y voir plus clair !
Seule issue d’un
monde éphémère...
Le seul ave’nir pour
notre terre ! »...
‘Faudra
bien qu’les gens le comprennent !