jeudi 27 novembre 2014

LES FILS SECRETS...

Les fils secrets...

Tu ne crains pas qu’ils dansent’ leur danse’ macabre... sur les cadavres...
De nos serments démocratiques’... statiques’... et que nos valeurs se délabrent... ?
C’est officiel... Ô Ciel ! Au prix de tant de sacrifices...
Mais pas des leurs... puisqu’ils font un malheur au « box-office » ;
La pauvreté s’installe à côté de leur piédestal... de Shanghai à Street Wall...
Pendant que détale’ la morale... Allô docteur Folamour, est-ce’ normal ?
Ils nous inventent’ un beau big bang pour que prospère leur big gang : Bingo !
Et toi, c’est ta loi du talion qui te maintient sous addiction, gringo !
Tu voulais ta part du gâteau ! Ton big bateau, ta vie d’château... et des bimbos...
Ça s’est gravé dans ton ego, après tes années de berceau, que l’argent, c’est l’Eldorado...
Que les humains sont inégaux... les plus rusés voient le banco, les moins : « un cœur dans des restos »...
Tu ne veux pas de ce pain-là : toi, tu es roi...
Ou bien l’expert de tous les droits que tu n’arranges que pour toi...
Devant les croqueurs de millions, qui jouent à leur Monopoly... sans passer par la case’ « prison »,
Tu joues « l’émulation »... tu veux gagner des munitions 
Sans te méfier des punitions...
Déchaîné par ces « Bygmalions », dans le réseau plein de maillons,
Pour ne pas être insignifiant,
Tu renies le chaînon gagnant...
Alors, c’est juste toi qui sautes...
C’est la loi du plus faible ! Et c’est presque ta faute :
Où étais-tu, mais qu’as-tu fait quand leurs pressions... ont pu dicter tes prestations ?   
En mission de compromission... En sous-mission... 
Tu filais ton mauvais coton dans des malversations... qui ne tournaient pas rond...
Avec... des ronds de cuir, des ronds dchapeau... tu entourais tes chiffres ronds...
Cependant, tu te détournais... de tes façons de bon garçon ! 
Ah ! Retiens la leçon :
Même’ les Nations sont menacées par les agences’ de notation...
Tu ne pouvais pas deviner,
Tu n’avais pas bien repéré,
Dans le monde entier, comme en France...

Les fils secrets de la finance...

Mais doù vient ce fléau qui nous frappe et nous fait tant de nœuds au ventre...
A l’annonce’ d’un fiasco truqué, sous un torrent d’argent qui rentre,
Pour arroser l’Actionnariat qui n’a d’action que d’encaisser...
Licencier, délocaliser, en déprimant tant d’employés, pour toujours plus... optimiser
Des dividendes’ ou plus-values exponentielles’ et démentielles :
« Quand la finance vous enterre, ‘ya qu’à lever les yeux au Ciel ! »...
On attend la résurrection d’un tissu d’emplois obsolètes’... et de petits boulots précaires...
Alors qu’on a pris pour mille ans de dette infâme et de galère !
Que tout dérive en s’aggravant...
Bon an mal an... à part, vraiment... le pouvoir de l’argent !
C’est ce modèle qui exclut... la jeunesse et les idéaux...
Qui les reclut et les accule à braver des lois qu’ils transgressent...
Dans ce partage, à deux vitesses,
Des avantages’ et des richesses...
Méritocratie sans mérite’... faut-il être le plus requin...
Pour vivre et manger à sa faim ?
C’est la liberté qu’on invite à des festins de cannibales !
Dans un monde ultralibéral... la fraternité fait sa malle
Et l’inégalité, trop mal... à ceux qui sont restés en panne !
La stratégie et le profit, tout est permis... pour qui en Gagne !
Qui voit la quadrature’ du cercle...
Dans ces travers qui nous encerclent ?
La vie se déroul’, parfois, comme un jeu de poker sans foi...
Ni loi...
Les euros ne font des heureux,
Que parmi ceux qui ont « du jeu »...
Le haut du panier, le gratin... qu’il est si dur d’avoir atteint...
Même levé de bon matin... au risque d’y laisser la main,
A moins de l’avoir prise, enfin...
Rien qu’en étant « le plus malin » !
Solitaire ou bien solidaire,
Choisit-on sa paix ou la guerre ?
Il y’a des maîtres’, il y’a des choix... pour lesquels tombent les soldats...
Il y’a des armes’ et des combats...
Tous les moyens sont bons pour ça...
Quand les larmes des uns font chez d’autres la joie,
On ne voit pas, quand on y pense,

Les fils secrets de la finance...

Qui sait les liens qu’on a tissés... entre les petits, les nantis,
Les beaux quartiers et les cités, les mal lotis... et la City ?
C’est un réseau tentaculaire’, comme un cancer à cœur ouvert...
Un paradis pour leurs affaires’, mais pour l’humain c’est le contraire :
C’est un enfer où l’on se perd dans la Toile ou sous la mitraille
De ces prédateurs sans morale...
‘Y a qu’sur les écrans, que tout s’règle... en misesau point... avec les poings...
Dans la vraie vie c’est moins certain...
Et tell’ment plus alambiqué !
Schwarzenegger, vient nous sauver ! Terminator est commdamné...
A moins qu’ce n’soit l’inverse... puisque Cameron t’a plaqué
Pour des avatars en vitrine...
Transhumanisés... sans rétine !
C’est c’qu’on veut pour l’humanité
Jusqu’au jour du juge’ment dernier ?
La terre est un citron pressé dans les mains de chefs empressés,
De faire’ fortune sur sa ruine’... dans leurs labos... et dans leurs mines,
D’où ils font passer leurs victimes
Pour d’la vermine :
Les mauvais plants, de mauvaises’ graines, font-ils vraiment de mauvais plans ?
Mais non !
Pardon !
C’est juste un engrais frelaté qui aura tout vicié, mon grand !
Monsanto t’a fourni l’implant et ça t’a r’tourné l’cœur... Malheur !
Qu’est-ce’ qui te reste comme’ modèle et comme’ repère... dans ce cime’tière... 
Mon frère...
Après avoir « tué... Le Père » ?
Et si tu’as poussé sans tuteur... comme un arbre qu’on dit tordu...
Tu as caché, à ton insu, des forêts de tueurs... voleurs ! sans clémence’... ni vertu ;
Des sorciers manipulateurs... qui n’ont rien à faire’ de ta vie...
Qui n’ont rien à faire’ de leur vie...
A part du blé, à part du beurre !
Ils ne recule’ront devant rien, rien que pour te mettre à l’amende,
Si tu n’fais pas « comme ils demandent... » !
Leurs bras armés ne sont qu’des pions
Sur l’échiquier d’leurs ambitions...
Tu crains leurs cellules’ carcérales...
Mais vois ta cellule’ familiale...
Ce qu’elle’ devient dans ce monde’-là... la vois-tu bien comme’ tu la veux ?
Les liens familiaux sont un frein qui les retient, un tant soit peu...
Ont-ils en vue d’les affecter... 
Juste assez, pour les effacer ?...
Pour que, privé de connivence... ou livré à leur dépendance...
Et la conscience assez brouillée, tu nlorgnes plus, avec outrance,
Ce qu’ils voudraient dissimuler...
Alors, c’est à toi d’essayer
De dénoncer leur influence :
Qu’on ne saisit pas lévidence,
(Car le prix de leurs joies est celui des chagrins... 
Et s’ils répandent leur boue... ils ont pris le terrain !!!),
On ne voit pas, quand on y pense...
Dans le monde entier, comme en France,

Et dans les affaires... de gros sous... partout...

Partout !

Les fils secrets de la finance...