samedi 24 novembre 2018

ÉTAT DES LIEUX...


État des lieux..


« Aires’ de lumière ? Terre’ de misères ? »...

L’Inventaire est encore à faire ! ‘Y’a sûr’ment du souci à s’faire !
‘Y’a des œillères’ pour les calvaires’ ? Ça, c’est très clair : des ères’ de guerre... aveuglées par l’enfer !
Peurs et terreurs, comme une erreur ! la guerre’ des nerfs, la der des ders ?
Nerf de la guerre’... Millions d’enfants ! 
Que vaut leur vie ? Que vaut l’argent ? 
Ah ? Les affaires’ sont les affaires !
Dur ! ce pour cent de milliardaires’ à sang pour sang décisionnaire !  
Intransigeant pour les « sans-dents » !
Si transcendant pour tant de gens !
Et Big Brother, ce tortionnaire’ qui défie la planète entière :
« L’œil au sommet d’anciens mystères » ?
Combien d’« pur-sang » dans la poussière’ ? Les paris sont encore ouverts :
C’est « game over ! » pour les loosers ! à Paris, comme à Vancouver, pour tant de corps morts en hiver !

« Dis, qu’est-ce’ qu’on prendra comme’ dessert ?
T’as vu l’programme ? Oh ! quel désert ! Changeons de chaîne’... ça dégénère !
Pour les chaînes’ des frères’ en galère... ‘y’aura des chaînes’ humanitaires !  »

C’est sûr ! on gère’ ! pour que nos torpeurs soient légères’... on a bien lesté les barrières ! 
Réchauffe’ment planétaire ? Ok ! on sort la glace’ du frigidaire !
La plage est pleine’ de pollutions ? On ira s’rincer dans la mer ! 
H2O, c’est la solution ? comme’ sous les tropiques’ du Cancer ?!!!
Non ! trop c’est trop ! Trop de plastiques’ et trop d’chimio ! comme’ si « les trops piquaient’ l’cancer » !
On nage’ra en région polaire !!!?
Et les pingouins reste’ront sous verre’, dans les réserves’ animalières,
Sur Instagram ou sur Twitter ! voire, en poster ?  C’est fait pour plaire !
Allez ! on se ressert un verre’ ! ça rafraîchira l’atmosphère !
‘Y’a des forages’ dans les forêts... de l’abattage, en esclavage... et des bourreaux pour animaux !
Des cœurs de lions, au caniveau... et des p’tits loups pour les barbeaux...
Des soldats qui chaussent’ du 35 !
Et que des barbouzes’ fanatisent’, pour les contrôler « cinq sur cinq » !
Qu’on a séparés d’leurs familles’, pas forcément de leur famine !
Ou qu’on a séparés d’leurs membres’... en les menant sur des champs d’mine !


On pourra bien fermer les yeux,
En faisant un état des lieux !
On peut s’dire’ que tout ira mieux...
Ou même accuser le Bon Dieu !
Non, mais franche’ment, soyons sérieux !
On n’va pas se prêter au jeu !

Contre un malheur, ouvrons nos cœurs !


Qui dénature’ nos molécules’ et pourquoi reculent’ nos frontières ?
C’est une imposture’ planétaire ! ‘Y’a des accidents volontaires ;
Plein de cobayes’ dans les cime’tières’... et quelques rebelles’ réfractaires !
Missiles’ air-sol, aérosols ! Qui parle’ de protection solaire ?
‘Y’a des mers sales’, des sols amers... et la nature’ qu’on « trans-génère » !
‘Y’a des fruits d’été en hiver... et des cultures’ en cycle court !
Des courts-circuits dans le système’ qui n’répond pas puisqu’il est sourd !
On peut se nourrir et mourir... avant de découvrir le pire :
Qu’on est en prise à un empire’ qui surtout veut bien nous mentir !
Qui voit les dégâts d’un délire’ dont le but est de s’enrichir ?
Dans le poisson, les métaux lourds...
Ou le poison... qui va au four !
Les éle’vages’ prisonniers des cages’... les charniers, sur fonds d’abattoirs ?
Qui peut dire’ que tout ça est faux, bloquer l’info, truquer l’espoir ?!!!
Qu’est-ce’ qu’on voit quand on broie du noir ? Je crois qu’on préfère’ ne rien voir !
L’idiot ignare’ se marre au bar, histoire’ de n’pas prendre un coup d’barre !
(La barre’ t’abat ? Ça va comme’ ça !
Lol... J’rigole’ plus ! Non ! J’rigole’ pas !)
On nous a dit : « Pensez printemps ! », avant la saison des volcans !
Eh ! les présidents nous gouvernent’, mais qui gouverne’ les présidents ?
Remplir le ventre’, ça vide’ la tête ! Alors, on s’gave et tout s’arrête ?
Qui fait la fête ou qui s’y prête’ ? Mais qui s’entête et qui s’inquiète ?
Etat d’urgence’, non-assistance ! Indifférence ou malveillance ?
L’exigence est pour l’existence’ ! L’important, c’est la résistance !


On pourra bien fermer les yeux,
En faisant un état des lieux !
On peut s’dire’ que tout ira mieux...
Ou même accuser le Bon Dieu !
Non, mais franche’ment, soyons sérieux !
On n’va pas se livrer au feu !

Contre un malheur, ouvrons nos cœurs !


La guerre’ vomit partout sa haine’, qu’elle’ soit tribale ou commerciale...
Après sa folie, vient la peine’. Le danger, c’est qu’elle’ soit virale !
Qui voit « le huitième continent » ?
L’homme est un bâtisseur ! Vraiment ?!!!
Les lauriers, il les veut en or ! Les palmiers, il les change en huile !
Et la vie passe’ sous le décor, dans son épopée mercantile !
Rien ne se perd, tout se transforme ?
Il est temps que chacun s’informe !
Tout casse’, tout lasse’, le temps, l’espace !
On connaît ce tour de passe-passe : « on ira s’installer sur Mars » !
Qui s’est dit « contre la Finance » ?
En voulant dire’ : « tout contre’ », je pense !
Quand on s’trouve’ra au bord du gouffre, on nous dira : « Allez d’l’avant ! » ?
La formule’ sent plutôt le souffre’ ! Qui en souffre et qui nous la vend ?
L’ours polaire’ s’enlise’ dans la mer... Il ne retrouve’ plus sa banquise !
Les industries crachent’ leurs poussières’, l’atmosphère est devenue grise...
On remplit nos programmes’ de vide !
C’est insipide’ mais très limpide !
Les cerveaux sont tous connectés
A un réseau centralisé !
Le modèle’ s’rait la fourmilière,
Où les fourmis sont des guerrières...
Des ouvrières’ très besogneuses’, c’est ça qui rend la reine heureuse !
Elle est d’ailleurs la seule’ pondeuse’... dont toutes’ les autres’ sont amoureuses !
Chez les abeilles’, c’est un peu mieux : elles’ ont l’humeur aventureuse !
Oui ! enfin, ça c’était avant... avant leur agonie honteuse !
Le fiel des affaires’ mine’ le ciel... le miel des affaires’, c’est « leurs mines » !
Et dire’ que ça nous contamine !
Biodiversité ? Traquée ! Liberté de penser ? Visée ! Égalité ? Ringardisée !
Fraternité ? Bien divisée ! Humanité ? Bien menacée !
Deux systèmes’ « éco » se font face...
L’un est logique’, l’autre est vorace !
Les gens sont pris par leurs « hobbies »...
Mais l’argent est pour les lobbies !

La solution est juste ici :
Dans les consciences et les esprits !


On pourrait bien fermer les yeux,
En faisant un état des lieux !
On pourrait s’dire’ : « tout ira mieux ! »
Ou même accuser le Bon Dieu !
Non, mais franche’ment, soyons sérieux !
On nva pas tout jeter au feu !

Contre un malheur, œuvrons encore !
Contre un malheur, œuvrons... en chœur !








 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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mardi 18 septembre 2018

ORGUEIL OU JALOUSIE ?

Orgueil ou jalousie... (version 2018)

                                  
Pour être « le premier » que ne ferait-on pas,
Lorsqu’on choie son image ou sa réputation
Au grand dam de ses pairs et qu’on mène un combat
Qui n’a de vocation que de faire impression ?!

Pour blâmer (sans vergogne...) en vue de « dominer »...
Brandir la calomnie comme une’ verrue piteuse...
Pour supplanter quelqu’un ou pour le dénigrer,
On vous passe en revue ses failles’ les plus honteuses...

Par l’ironie, la ruse ou la diffamation,
Pour atteindre la gloire ou la suprématie,
On prend des airs souve’rains mais on n’fait qu’illusion
En cherchant pour support l’« effondrement d’autrui » !

On tend à l’excellence... ou la postérité !
Sans se rendre bien compte, à ce jeu déloyal,
Qu’on met juste en avant « sottise et fatuité »...
Au lieu de cultiver des vertus conviviales !

Et que récolte-t-on
Sur ce qu’on a détruit ?
Orgueil ou jalousie,
Qui leur donne’ra raison ?

On use’rait quelquefois d’artifices’ insensés
Pour paraître meilleur ou valoir plus que d’autres,
Exhiber sa superbe en pans de vanité
Qui n’attirent’ bien souvent que de « mauvais apôtres ».

On a le cœur géant, béant comme un fossé
Que plébiscitent’ alors, béats d’exaltation,
« Flagorneurs complaisants » ou « flatteurs compassés »
Aux propos distillés... avec ostentation...

Cabotin, m’as-tu-vu, démagogue à souhait !
On se rend désinvolte et, pour mieux « parader »,
On se gave’ de ses mots, ses prouesses’ et ses faits,
De fausse exubérance ou de calme emprunté...

Pour séduire et pour plaire avec autorité,
On exploite un savoir péremptoire ou enviable,
S’adonnant à l’esbroufe en toute impunité,
En affichant l’aplomb d’un expert estimable.

Et que récolte-t-on
De ce qu’on a trahi ?
Orgueil, ou jalousie,
Qui en sait la raison ? 

On prétend au mérite... à la reconnaissance...
Présomptueux en diable... autant que c’est factice !
Et pour s’en délecter, grisé par cette’ prestance,
On ne renonce’rait pas à quelques sacrifices !

Pour plaire et pour séduire on se livre à l’envi
Aux regards éblouis par des rodomontades !
Et on offre en pâture à « qui pleure ou qui rit »
Un spectacle inventé pour briller en façade.

On prend un air affable, amène ou secourable
Et pour s’auréoler de considérations,
On déploie des efforts souvent considérables,
Usant de modestie... pour capter l’attention...

Tous les moyens sont bons pour louer son ego,
Du sourire enjôleur aux fous rires’ contagieux,
Du moment qu’on reçoive un indice en écho
De succès ou de chance à ce jeu prétentieux.

Mais que récolte-t-on
De piètres comédies ?
Orgueil ou jalousie,
Qui en perd la raison ?

C’est peut-être parfois sur de vilaines’ blessures
Qu’on redécouvre un jour avoir manqué plus tôt
De tendresse et de gestes ou de mots qui rassurent
Et qu’on veut rattraper ce qui faisait défaut ;

C’est souvent pour calmer son angoisse ou sa peine
Qu’on essaie de forcer « crainte ou admiration » :
Pour offrir à l’enfant que l’on a dans ses veines
Ce qu’il n’a pas connu d’estime ou d’affection.

Avec un cœur d’adulte, et des moyens aussi,
Les regrets qu’on nourrit ne s’apaise’ront jamais
Avant que le soleil mette un terme à la nuit,
Puisque sur les rancœurs ne fleurit pas la paix.

Pour être le premier on oublie le bonheur !
Et qu’on ne construit rien pour vaincre ou se venger :
Si on peut redresser sans regret ni rancœur
Quelques ruines’ dans son cœur, c’est d’en avoir chassé

Orgueil et jalousie...

C’est d’en avoir chassé

Orgueil et jalousie !


(A Molière...)




                                               



 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

vendredi 14 septembre 2018

PRÉDATEURS / PREDATORS...

Predators... Les Prédateurs...

Ils nous demandent de marcher droit sur leurs chemins trashs et tordus...
Mais... se cachent’ à l’abri du droit et nous arrachent’ des sommes’ indues
Qu’on leur paie cash avec nos vies, en vue d’un racket planétaire...
Chacun de nous en sait le prix : « la loi du marché des banksters » !

‘Faudrait qu’les honnêtes’ gens comprennent’ : « l’argent qu’ils avancent’ nous endette » !
Ce qu’ils nous prêtent’, ils nous le prennent’ ! Cette’ redevance’ s’appelle’ « la dette » !
Et c’est bien ça qui nous inquiète’ : quand on se prête à cette arnaque,
C’est nos pertes’ qui font leurs recettes’ ! et c’est comme’ ça qu’ils nous matraquent !

Depuis mille’-neuf-cent-treize, en vrai, des gouvernants sont gouvernés
Par les dieux d’la planche à billet qui ont spolié leur dignité !
Aujourd’hui sont-ils les valets d’un système’ qui les a éle’vés
Pour employer, comme’ des champions, ces p’tits pions sur leur échiquier ?!!!

C’est comme une’ mafia qui finance’ la maladie et le remède !
Comme’ Big Pharma ! « C’est dans l’urgence’ des attentats qu’on crie à l’aide » !
Qui peut confier sa liberté ou sa santé à qui l’attaque ?
Qui va trouver la vérité dans des arcanes’ qui la détraquent ?

Les auteurs de mille exactions ne sont jamais dans l’inaction :
Les promoteurs de pollutions sont prometteurs de solutions !
Trump ne peut pas « trumper » tout l’monde ! et pas tout l’temps et pas partout !
Dans sa tête, y’a sûr’ment des bombes’... qui seraient son ultime atout !

Il n’est pas l’seul sur la planète à vouloir bousculer l’histoire...
Hélas ! quelques factions sont prêtes’ à dévaster nos territoires !
Quelques dirigeants sont séduits par nos « trois huit » et leurs « trois six » !
Pour nous tenir à la merci d’un ordre immoral et factice !

Le Trumpisme et le Poutinisme’ sont deux fronts du Suprémacisme !
Djihadistes’ ou impérialistes’, colporteurs d’américanisme,
Erdoganistes’... et cetera... tous les fachos sont des machos !
Dans leurs bras d’fer et leurs combats, ils cherchent’ avant tout le KO !

Leur main tendue vient de « très haut... », pour nous abattre ou nous soumettre
A leur ego qu’ils ont très gros, tant qu’on les salue comme’ des Maîtres !
Ont-ils rétabli l’esclavage’ dans nos sociétés d’addictions ?
Ont-ils bien redoré nos cages’, pour qu’on s’attache à leurs prisons ?

Car ce n’sont jamais les patrons qui tiennent’ la pelle ou la gamelle
Mais ils peuvent’ manier le bâton et ils savent’ tirer les ficelles !
Les consommateurs d’« univers... » sont consumés par leurs besoins !
Et leurs besoins sont délétères’ pour eux-mêmes’ ou pour leurs voisins ! 

Les contrats de précarité, les taux et les « sévices’ bancaires »...
Tout dépend d’une autorité et d’un étau qui se resserre,
Qui vous enserre et vous agresse avec des règles’ antisociales...
Pour que le genre humain régresse’ vers sa condition animale !


Qui s’en prend au vivant pour fuir sa propre mort ?
Qui veut la déborder pour lui survivre encore ?
Lui sacrifier des corps pour ménager le sien ?
Qui s’donne’rait tant de mal pour conserver ses biens ?


Ceux à qui s’adresse’ ce message, en dépit de tous leurs carnages ! :


« Vous dressez des châteaux arrogants sur du sable
Et sous de « faux drapeaux » simplement détestables !
Vous prendrez des râteaux, car vos plans sont instables !
Tout finit par passer et tout va s’effondrer !
Face à lÉternité,
Vous serez dépassés !
Car votre sablier n’est pas inépuisable !
Ce qui défie le temps
Ne dure’ jamais longtemps !
Chacun est prisonnier de ses enfermements ! 

Vos secrets sont amers et marqués par la poudre...
Vos projets sont à terre ou masqués par la foudre !
Vous avez arboré l’anthracite’ des ténèbres...
Vous avez honoré tant de principes’ funèbres ! 

Qui sent la fin du monde ?
Ou simplement du vôtre ?!!!
Et la terreur immonde
Dont la douleur inonde’ le cœur des bons apôtres ?!!!
Vos desseins délirants sont servis par les armes
De vos armées sans âme...
Vrais mercenaires’ mais faux rebelles !
Et vos frontières’ nouvelles’ sont tracées par les vents
De vos guerres’ meurtrières’, pour des profits mortels
Aux résultats déments !
Tiraillé par l’argent, le destin des tyrans ne fait jamais long feu !
A part juste... en enfer ! Qui le voit de ses yeux ? Qui en doute’rait pour eux ?
Qui le redoute un peu ? »


‘Faudrait se tourner vers « Demain » pour vérifier qu’on fait fausse’ route !
Et pour ceux qui ne doutent’ de rien, il s’rait temps de s’mettre à l’écoute !
Il est grand temps d’agir (encore !) au-delà des effets d’surprise !
Oh ! Big Brother, sors de ces corps... qui s’« Van Dammisent’ » ou s’« vampirisent » !

Sait-on qui s’enrichit des guerres’ ? Ce sont les saigneurs de la Terre !
Ils sont au sommet d’leurs affaires’ qui prospèrent’ sur un tas d’misères !
Leur pouvoir est pyramidal... et leurs ambitions, abyssales !
Leurs hommes’ de paille’ font tout l’travail ! Eux ? Ils n’ont jamais les mains sales !

C’est leur âme’ qui est ténébreuse’, leurs pensées qui sont dangereuses !
C’est leur haine’ qui est ravageuse et leurs intentions, désastreuses !
A qui profitent’ tous les conflits ? Non ! Il n’y’a pas d’pays maudit !
‘Y’a qu’des spéculateurs pourris ! Qui le sait ou qui l’a compris ?

Les soldats tombés au combat n’ont jamais pensé à tout ça !
Comme au Vietnam et où qu’ce soit, ils ont offert leur vie, cent fois, 
Pour du pétrole’, des protocoles’ ! Pour des Pouvoirs et leurs pactoles !
Utilisés comme’ des guignols, ils ont rendu leurs mamans folles !

Quand Patton les menait au front, étaient-ils des libérateurs ?
Si Poutine’ fait bonne impression, quel est l’sort de ses détracteurs ?
Qui a financé toutes’ les crises ? Qui pourrait danser sur nos tombes ?
Qui bâtit, sur ce qu’il divise, un empire’ qui domine’ le monde ?

Pendant qu’Donald « trumpe’ » l’Amérique... ou sa femme... il lance’ des smileys !
On le verra tweeter des « piques’ », bientôt, dans l’journal de Mickey !
Ou bien sur les pages’ de Play-Boy... (enfin, j’veux dire’ sur des « playmates ») !
Et, pendant qu’il tweete’ comme un troll, il désole’ tous les diplomates !

Dans ce monde en triangle’, ça n’tourne’ pas bien très rond !
Il faut rester carré... pour manier l’opinion,
Imposer ses excès, trahir ses amitiés ?
Remporter des succès ! Faire envie, pas pitié !


Qui veut tuer la vie pour subjuguer la mort ?
Qui croit l’amadouer pour lui survivre encore ?
Lui sacrifier des corps pour conserver le sien ?
Qui s’donne’rait tout ce mal pour ménager ses biens ?


Ceux à qui j’adresse’ ce message... un défi à tous leurs carnages ! :


« Vos secrets sont amers ou couverts par la poudre...
Vos projets sont à terre ou traqués par la foudre !
Vous avez adoré l’anthracite’ des ténèbres...
Vous avez arboré tant de principes’ funèbres !

Qui sent la fin du monde ?
Ou simplement du vôtre ?!!!
Et la terreur immonde
Dont la douleur inonde’ le cœur des bons apôtres ?!!!
Vos desseins délirants sont servis par les armes
De vos armées sans âme !
Vrais mercenaires’ ou faux rebelles !
Et vos frontières’ nouvelles’ sont tracées par le vent
De vos guerres’ meurtrières’ et vos profits mortels,
Aux résultats déments !!!
Dévoré par l’argent, le destin des tyrans ne fait jamais long feu
A part... juste en enfer ! Voyez-le de vos yeux ! Croyez-le, juste assez !
Redoutez d’y brûler !

Vos serments de serpents sont remplis de venins
Aux relents inhumains...

Vous avez honoré le prince « HIP » des ténèbres !
Mais toute ombre amassée est absence’ de lumière !
Elle’ n’est que son revers comme’, pour l’eau, le désert !
Et pourtant, la lumière est mère’ de Vérité...

Celle’ que rien n’oblitère... à part nos cécités !

Et pourtant, la lumière est la seule’ Liberté !
Comme un phare’ salutaire’ dans nos nuits solitaires ;
Comme un fond d’oxygène’ dont nous sommes’ tributaires ;
Un noyau d’ADN qui nous rend solidaires !

Notre seule’ chance d’y voir plus clair !

Seule issue d’un monde éphémère...


Le seul ave’nir pour notre terre ! »...


‘Faudra bien qu’les gens le comprennent !