L’Antidote...
‘Y’a des gens bons,
oui ! mais voilà :
Les sal’amis,
ça ne manque’ pas !
‘Y’en a aussi,
souvent les mêmes,
Parfois « tarte »... et « j’dis pas la crème » !
Parfois « tarte »... et « j’dis pas la crème » !
Casser du sucre
sur mon dos
Pour donner du
goût aux ragots,
Ça manque’ pas
d’sel ? De quoi j’me mêle ?
Des coups
d’baguette’ ? J’vois les ficelles !
Sur un sol facile
à cirer,
Si je vacille, on
m’fait tomber !
Oh ! mais la
« note » est trop salée !
Comme’ la mer,
j’l’ai pas avalée !
C’est c’lui qui
« dit » souvent qui ment !
Même’ pour ajouter
du piment,
C’est trop
« piquant » quand c’est acide !
Et ça peut rendre
un cœur « à rides »...
Je mettrais bien
les pieds dans l’plat
Pour écraser
cette’ purée d’pois :
Tout cette’
conscience édulcorée
De médisance’
bien distillée.
J’ai pas d’recette’
pour m’en tirer !
J’ai juste un sac
que j’vais vider
Sans mâcher les
maux de ma peine ;
Passer à table’ !
Sortir de scène !
Je n’mettrai pas
d’eau dans mon vin,
Même’ si je
m’égosille en vain !
Et j’n’en ferai
pas un fromage,
C’est trop facile ou trop dommage !
C’est trop facile ou trop dommage !
Il n’faut jamais
prêter le flanc
A des montagnes’
de boniments !
Il vaut mieux
glisser sur le piège
Des rumeurs qu’on
vous monte en neige...
J’les supporte’
mal depuis toujours,
Tous ces pavés
lourds pour l’amour !
Allez ! J’les
renvoie en cuisine
Et tant pis pour
ceux qu’ça chagrine,
AIMER !
J’veux goûter aux
morceaux de paix
Quotidiens ! Au repos, après
Et, repus d’un
repas qui dure,
Sans répit fuir
les « vies d’or » dures...
Rester dans la
simple cité
Où s’épanouit’ l’humilité,
Ravaler des plans
de vengeance
Et bien restaurer
la confiance !
Je suis avide’ de
« very thé »
Parce’ que ça me garde éveillé
Mais j’aime’
surtout boire à la source
De la Vie : là où j’me
ressource...
Plaise au Ciel que
l’Amour soit fort
Et nous arrache au
« mauvais sort » !
Qu’on s’expose ou
qu’on marque une’ pause,
Ce « qu’a
fait » le monde, il l’impose !
Alors il faut bien
s’adapter
A cet univers
frelaté ;
Préserver ce qui
persévère
A l’abri des
humeurs amères
Et semer en bon
jardinier
D’la bonne’
graine’ qui pourrait germer !
Partager les
fruits d’sa récolte
Arrachés aux vents
d’la révolte !
Après tout, il
pourrait pleuvoir
Sur nos têtes’.
Allez donc savoir
Ce qui fait que
les fêtes’ s’arrêtent
Et qu’on n’est
plus dans son assiette...
Comme’ les gens
bons, on a parfois
Le cuir épais, ça
ne manque’ pas !
Mais des soucis
et des problèmes
A la pelle et c’est ça, l’dilemme !
A la pelle et c’est ça, l’dilemme !
Je crois bien
avoir découvert
L’antidote à tous
ces revers ;
Ce qu’il faut
goûter sans réserve,
Même’ s’il n’y’a
que ça qu’on préserve... :
Autre blog : http://jeanpierreb.over-blog.com/
Instagram : https://www.instagram.com/aphogramia/
Instagram : https://www.instagram.com/aphogramia/