Et si c’était - Opus 2
‘Y’a des zones’ d’ombres’ dans tous les camps ; ‘y’a
des arnaques’ de trafiquants ;
Tant de
partis pour partisans, tant de pratiques’ pour pratiquants…
‘Y’a des missions pour les croyants, des soumissions pour mécréants ;
Des
narrations pour les nations, des traditions de talibans.
Où est le Pape’, sous-Pape ou pas, sous l’imposture’ des apostats ?
Les prometteurs de Nirvanas, les profiteurs d’apostolats ?
L’Ukraine
a eu son Bandera, Azov et sa bande’… comme’ des rats !
Quelle’
mafia choisit l’Omerta ? Quel choix pour la Bande’ de Gaza ?
Vois
le Hamas pris dans la nasse’ quand c’est au prix d’un crime’ de masse !
Entends
les cris et les menaces’ sur les parvis et sur les places !
Graines’
de voyous, Netanyahou, les délinquants ne s’opposent’ pas :
Un
crime est un crime’ quel qu’il soit ; les rébellions ne se dosent’
pas !
Un
holocauste est une offrande au prince’ du monde et ses larbins ;
Que
fera Faust au fond d’une’ tombe’ de ses dollars et ses larcins ?
Satan
te détruit corps et âme ; il t’a surpris ? Il prend ta vie !
Ta
mort est son programme infâme’ ; pire encore’, celle’ de ton
esprit !
‘Y’a
moins d’barbeaux au fond des geôles’ que de pédos au fond des loges.
Ces corbeaux
mérite’raient la taule or trop de trolls font leur éloge :
‘Y’a
des dirigeants dérangés qui mettent’ nos enfants en danger,
Qui
s’arrogent’ le droit d’vous juger quand vous voulez les protéger !
J’ai
pas la phobie des faucons. Est-ce’ que j’crains la furie des vrais ?
Dans
leurs lubies est-ce’ qu’on discerne’ c’que la plus pure’ folie permet ?
Est-ce’ que le dilemme atomique’ s’évalue en watts ou en rems ?
C’est
bien d’ça qu’il faut qu’on débatte’. Le reste’ n’est même’ plus le
problème !
Aversion
des couleurs
Ou la
passion du cœur ;
Oraison
mortifère
Ou rayons
de lumière :
‘Faut
choisir l’horizon
Ou finir en
prison !
Si le malheur n’est pas un leurre,
Alors le bonheur est ailleurs !
Bill
Gates’ anobli, c’est cynique’ ! Combien d’mondialistes’ sont en piste ?
Quelle’ cour inique est sataniste’ ? Demandez-le aux attalistes !
Quatre-vingts
pour cent des conflits sont entrepris pour le profit !
Et
quel pays les alourdit ? Bah ! celui qui les a ourdis :
Les
États-Unis nous divisent’ pour mieux régner en terres’ conquises ?
Ils
organisent’ des temps de crise’ pour mieux gérer leurs aires’ promises…
Le
business est juste une’ maîtresse’ qui te méprise’ ? Tu couches’
avec !
Tu
la mates’ et tu crois qu’ça matche ? Elle’ te lâche’ra en bas
d’l’échec !
Snowden
est russe’ pour fuir les ruses’ et pour accomplir son action…
La
vérité tire’ des leçons des mensonges’ des Anglo-Maçons.
Tu
t’en amuses’, ils en abusent’ ; des gens comme Assange’
les dérangent ;
L’Histoire’
restera sans excuses’ : des faussaires’ monétisent’ des anges…
Les
Humains sont la seule espèce’ qui s’affaire à s’autodétruire…
C’est
le contraire’ d’une’ santé d’fer que leurs affaires’ vont nous produire :
Le
Big-Pharma-business opère’ sous couvert de vaines’ plandémies.
Vois :
la Big Pharmacie prospère où règnent’ aussi les maladies ;
Nos
leaders n’ont pas échoué : ils ont réussi leurs saccages
Car
ils n’ont pas raté leur coup ! Ils ont le courage’ d’un carnage.
En se soumettant à l’OTAN, on s’engage’ comme’ des
rats en cage…
Médico-Socio-Scandaliste’, c’est officieux mais c’est mondial !
L’OMSS est en session de mort sanitaire et sociale…
Comme’ la vipère’ sur le calice’, sa morsure’ fera ta mort sûre !
Les labos ont des collabos qui sont complices’ de
meurtrissures.
Ils peuvent’ faire’ toutes’ les manigances’
Tant qu’on
n’en a pas pris conscience.
Oraison
mortifère
Ou rayons
de lumière ;
Aversion
des couleurs
Ou la
passion du cœur ;
Objection des
valeurs :
Abjections d’imposteurs.
‘Faut choisir l’horizon
Ou moisir en prison !
Si le malheur est une’ douleur,
Alors la douceur est ailleurs !
C’est une’ révolution systémique ! Une’ destruction
systématique.
On vous enjôle en polémiques’. On vous enrôle en politique !
Qui cherche alors à vous trahir jusqu’à brider votre
mémoire ?
Qui cherche encore à démentir les vérités de notre
Histoire ?
Qu’est-ce’ qui pourrait bien nous suffire ? Est-ce’
qu’on craint la mort, ou survivre ?
Et si c’était pire’ que mourir, qu’est-ce’ qu’on
aurait encore à vivre ?
On soupire’ derrière un sourire : on nourrit la
peur de souffrir.
Qu’est-ce’ qu’on voudrait toujours maudire autant que
c’qui fait mal à dire ?
S’il est difficile’ qu’on respire’, ce s’rait plus
facile’ qu’on expire ?
Quelle’ pure’ peur pouvait nous saisir à part la peur
de tout subir ?
Et si l’pire est à toujours à v’nir, qu’est-ce’ qui
s’ra plus lourd à l’ave’nir ?
Un parcours d’écueils à bannir ; une’ Tour d’orgueil sans
y rev’nir ?
Les gourous de l’état d’urgence installent’ partout
leur gouvernance.
La seule’ chance est la connaissance’ pour échapper à
leurs nuisances ;
Notre espérance est la seule’ foi ; la résilience est
la seule’ loi ;
La résistance est le seul choix ; la délivrance est la
seule’ joie…
La
politique’ de la Douma, c’est la logique’ de la Pravda ;
L’Inversion
des valeurs nous ronge’ ; la Doxa gangrène’ nos médias :
Défection
de la probité ! Profession d’immoralité…
Démission
des fraternités : profusion d’inhumanité !
La léthargie n’agit jamais. C’est factuel comme
historique.
Attali vous veut apathique ; Harari vous rend
hystérique.
L’esprit bas qu’on flatte et qui flotte’ se délite en
mort cérébrale
Entre Chutzpah et Kellipot pour les élites’ de la
Cabale…
Aversion des douleurs
Ou la raison du cœur ;
Oblations mortifères
Ou fusions de lumières :
Abjection des valeurs :
Objections d’imposteurs.
‘Faut fleurir l’horizon
Ou flétrir en prison !
Si le malheur est une’ pâleur,
Alors la couleur est ailleurs !
Ce Nouvel Ordre est cannibale : on y sert un air infernal…
Qui mène’ la danse’ ? C’est le « dieu Baal », le
prince’ du bal qui s’en régale !
Qui est béni, qui est maudit ? Qui veut encenser un
serpent ?
Qui lui déroule un tapis d’sang pour qu’il avale’ son
carburant ?
‘Y’a tant d’souffrances’ au nom du mal, comprenez : le
mal est vorace !
Au Nom du Père, au Nom du Fils, du Saint Esprit ; au
Nom d’une’ race ?
« Leur Machia’h » ne reviendra pas sans tout
détruire et c’est c’qu’ils croient.
La Shoah devient leur passe’-droit… Quel Destin leur
octroie ce choix ?
Pourtant Yahvé n’y pourvoit pas car Le ROI
foudroie les faux rois !
L’Open Society nous envoie des kaïras dont nous
sommes’ les proies…
Tant de leaders sont des experts pour nous faire une’ peur
de misères.
Les trolls de Schwab sont des pervers… Ils nous
atterrent’ et persévèrent…
On s’perd dans une ère’ globaliste’. Mystère ou
mystification ?
Au bout d’un magma complotiste, on saura sa révélation :
"Grande’ mise à jour"… mise au grand jour,
l’apocalypse a commencé !
A quoi sert la cancel culture’ ? Qui sert un wokisme
outrancier ?
Listes’ ou ratures’ ? Noms en pâture’ ! Les
cabalistes’ servent Mammon.
Ces gens-là ne sont plus humains mais dans la main de
leurs démons.
Le mondialisme est délétère’ ! Lucifer y vient faire’
sa guerre.
Quelle’ emprise ont des extrémistes’ et quel empire’
sur nos galères ?
Ceux qui se réfèrent’ aux lumières’, c’est de telles’
flammes’ qu’ils se réclament !
Ils se voient au-dessus des Hommes’ quand c’qui les
blâme’ condamne’ leur âme.
Ils règnent’ en gnomes’ sur ceux qu’ils
saignent’ ;
Ils écrasent’ tous ceux qui les craignent,
Ils sèment’ la haine et les problèmes ;
Leurs anathèmes’, c’est leur totem ; l’horreur sur
terre’, leur théorème.
Humanité deux points zéro : mise à terre au
plus bas niveau,
Sa Liberté est au cime’tière’ ; sa
Dignité ! au caniveau…
Fermez les yeux dans la tempête
Et vous sentirez qu’elle’ vous fouette !
C’est la fin des fraternités
Ou un suicide organisé ?
Un génocide’ prémédité,
Une addiction par cécité…
Une ablation de Vérité,
La Vérité dénaturée ?
Mille impostures’ élaborées,
Et la Nature empoisonnée !
Nous vivons des temps abrasifs dont le bilan s’ra
décisif.
La fin des temps, les temps d’la faim… faim d’vivre ou
carma primitif ?
Mais… Faim d’Bonheur et de Justice !
Fin des sévices’ ou fin du vice ?
Est-ce qu’on verra le précipice
In extrémis…
Avant qu’on glisse ?
Il faut sûre’ment un sixième’ sens pour bien saisir le
sens du Monde.
Apprends la vie : squatte’ ses lumières’ mais comprends-la ! et scrute’ ses ombres…
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