jeudi 15 mai 2025

AMEN (A DIEU)

AMEN ! (A DIEU…)


AMEN ! 

Est-ce’ que j’le vis ?

AMEN ! Est-ce’ que j’le dis,  

Ce mot, comme un défi ?


On entend : « DIEU est mort ! » 

Mais…

On répète aussi, sans répit : « DIEU MERCI !».



Si j’ai cru en ma vie, c’est que j’ai cru en Lui !

Sans avoir cet Ami, je n’aurais plus de vie.

Qui a peur de la mort ? La mort a peur de Lui !

Mais Lui n’a peur de rien… C’est ma foi qui m’le crie !



Regarde’-toi dans la glace’ ! Quelle’ place est éternelle ?

Regarde’ les vraies menaces’ : qu’est-ce que tu sais du ciel ?

Vois-tu ces fous de rage’, de pouvoir et d’argent ?

Ils plagient les rois mages’ qui répandaient l’encens.

Lève’ la tête et regarde un air pestilentiel :

Ces guirlandes’ éphémères’ ! Pourquoi ces rituels ?

C’est Noël tous les jours pour les semeurs de fiel ;

Le tribut est trop lourd : ils le volent’ au soleil !

Aucun ange’ joue d’la HAARP ! mais seul’ment des bouffons…

C’qui se change en écharpes’ devient ta toile’ de fond !

Avec leurs épandages’ ils détruisent’ le vivant…

Leurs plages’ de faux nuages’ défient’ la fin des temps…

Sous leurs ordres’, un autre Ordre’ ? Sous l’Orage ! Un naufrage !

Si tu as du courage’, n’attends pas le carnage !

Quels démons tuent la Création ? 

Quelle objection face aux démons ?

Si la terre adore’ Lucifer, est-ce’ que Lucifer aime’ la terre ?

L’Amour défend toujours la Vie or quelle’ mort t’attire en enfer ?

On veut d’autres’ planètes’ pourvu qu’elles’ soient fertiles ?

Regarde un peu la nôtre’ : des rats la rendent’ stérile…

Quels cartels te martèlent 

Des injonctions mortelles ?

Est-ce’ que tu t’en rappelles

Quand tu as des séquelles ?

Quand l’ombre est devant toi, est-ce’ que tu la génères ?

Hé ! si t’as l’esprit sombre’, c’est qu’il a des œillères.

C’est limpide et c’est clair pour tes deux hémisphères 

Comme’ sur un planisphère’ : plaines’ de paix ; aires’ de guerre…



Tu sais, si j’crois en Lui, c’n’est pas parce’ que j’l’ai vu

Mais parce’ que j’l’ai vécu… et qui l’a vraiment su ?

Difficile’ de l’savoir quand on n’veut pas y croire ;

Difficile d’y voir clair avec des idées noires.



Quelle’ culture’ déicide’ fait d’Lui un imposteur ?

Quel culte de menteurs ?

Et si j’crois en ma vie, c’est parce’ que j’crois en Lui !

J’ai perdu des parents ; j’ai perdu des amis

Et même’ s’ils sont partis, c’est à Lui qu’j’les confie.

En Lui rien n’est fini :

De loin ma mère’ sourit et mon père à côté ;

S’ils sont au Paradis, j’n’ai plus à m’inquiéter

Mais je n’dis pas merci pour mes frères’ sous la guerre

Ni mes sœurs en galère’. J’dis Pardon en prières.

Et si tu manques’ de joie, est-ce’ que tu manques’ de foi ?

Ou… si tu manques’ de foi, est-ce’ que tu manques’ de joie ?

Je suis mort sans répit, 

A chaque’ fois, je revis.

Quand les phares’ ont grandi, le choc s’est rapproché.

Si j’peux l’dire aujourd’hui, c’est qu’j’me suis accroché 

A la vie.

Alors j’m’en suis sorti…

Il y’a d’l’ombre ici-bas parce’ qu’il y’a d’la lumière ;

On n’vit jamais sur terre à l’abri d’la poussière

Ou, comme au crépuscule, on se terre’ dans une’ bulle ;

Qu’est-ce’ qu’on gagne à se plaire’ dans un jeu à somme’ nulle ?

On m’a dit « Tout est Grâce ! »… Grâce à Lui, tout se passe

Et dépasse’ nos surfaces.

Quand des Maîtres de loges’ dérogent’ à toutes’ les Lois,

Ils dérangent’ tous les droits et se prennent’ pour des Rois.

Le Maître des Horloges’ les délogera à temps,

Bien avant l’enterre’ment du dernier des vivants.



Si j’ai peur de la mort ? La mort a peur de Lui…

Et Lui n’a peur de rien ! Car Lui, rien n’le détruit !

Mais si ! c’est le MESSIE !

Et si j’ai cru en moi,

C’est que j’ai cru en Lui !



Qui est anglomaçon ? Qui, talmudosioniste ?

Je n’suis pas complotiste’ si je suis éveilliste !

Chrétien, 

Est-ce’ que j’le suis ?

Sans fin,

C’est mon envie. 

Sans haine et sans dépit

Ma peine’ sera finie ?

Amen !

A l’Infini !

Je Lui parlais, petit ;

J’ai grandi et je prie.


Un jour aussi, je partirai ;

C’n’est pas mon âme’ que je rendrai… 

C’est juste’ mon corps

Après ma mort

Car mon âme est à Lui

Et mon amour… à l’Infini !


Un jour, je serai vieux

Puis j’vous dirai Adieu

Mais j’me confie 

A Lui :

Le Contraire’ du néant

Et mon seul Firmament.

C’est vrai qu’on s’en méfie ;

C’est vrai qu’c’est mon défi

Sérieux comme un aveu…


Mais j’me confie à Dieu.











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